Quand elle ne crée pas la polémique avec ses propres photos, c’est avec un cliché de sa fille que la star s’attire bien des remarques. Régulièrement accusée de forcer sur la chirurgie esthétique, Madonna se retrouve aussi critiquée pour le choix esthétique de Lourdes, qui a décidé de ne pas se raser les aisselles.
Lourdes Leon, cible de body-shaming pour ses aisselles poilues
Sur la photo partagée par Madonna ce dimanche 11 avril, la chanteuse enlace tendrement sa fille qui réalise un selfie. Pour parvenir à se prendre en photo avec sa maman, Lourdes soulève son bras et dévoile une touffe de poils sous les aisselles. Un détail qui n’a visiblement pas été du goût de plusieurs internautes. « Ce n’est vraiment pas hygiénique », fait remarquer l’un d’entre eux, tandis que d’autres dénoncent une vision « choquante ».
Des jugements qui à leur tour, ont entraîné un vif débat sur la question de la pilosité féminine. Bien d’autres internautes ont ainsi souhaité apporter leur soutien à Lourdes, en déplorant ces critiques assimilées à du body-shaming. « Arrêtez de dire que c’est dégoûtant, c’est naturel », peut-on lire, ou encore : « 2021 et les gens sont toujours surpris de voir une femme avec des poils ».
Ne pas s’épiler les aisselles : un choix revendiqué par plusieurs stars
Le choix de Lourdes Leon de ne pas s’épiler aura particulièrement fait parler, pourtant, ce n’est pas la première fois qu’une star décide de dévoiler ses aisselles poilues. Le top model Emily Ratajkowski est également connu pour aimer garder ses aisselles au naturel. Pour la jeune maman, la pilosité corporelle permet aux femmes d’exprimer leurs capacités à prendre des choix.
Pour Ashley Graham, top model connu pour prôner le body positivisme, les poils sous les aisselles n’ont rien de honteux, tout comme les vergetures. Autre fille de star à avoir choisi de montrer ses poils sous les aisselles : Lily-Rose Depp. En septembre 2020, la fille de Vanessa Paradis et Johnny Depp entraînait un débat sur Instagram en dévoilant ses dessous de bras poilus. Preuve que le débat est loin d’être clos.