Propulsée au rang de star grâce à l’émission phare de TF1, la femme d’Alexandre Pellissard est également devenue une influenceuse chevronnée. A la tête d’une communauté de plus de 200.000 followers sur Instagram, celle qui est enceinte de son neuvième enfant y partage régulièrement son quotidien. Ses révélations du 3 juillet 2021 se sont cependant démarquées du lot et pour cause, elle a affirmé avoir été victime d’une usurpation d’identité. Selon ses propos, l’agent de la CAF (Caisse d’Allocations Familiales) aurait volé ses données personnelles.
Amandine Pellissard pousse un coup de gueule
Le 2 juillet 2021, la star de Familles nombreuses, la vie en XXL avait alerté sa communauté sur Instagram que des individus malveillants se faisaient passer pour elle. Le but étant d’escroquer ses abonnés. Une personne l’avait en effet prévenu en laissant un message sur le répondeur de son mari. Dans un premier temps, la jeune femme pensait à une plaisanterie. Malheureusement, elle était bel et bien la cible d’une usurpation d’identité. Outrée, Amandine Pellissard a de nouveau pris la parole le lendemain pour les dénoncer auprès ses followers.
Dans les faits, une personne malintentionnée aurait fait bon nombre de captures d’écran sur son compte CAF. Selon ses explications, l’agent en question aurait collecté ses « données personnelles afin de les utiliser à des fins privées, de les diffuser, etc. ». Il n’y avait plus aucun doute, car elle aurait également découvert des preuves en photos. Du coup, elle avait rappelé la personne qui avait laissé un message sur le répondeur de son mari. Dans la foulée, elle avait révélé à ses abonnés qu’elle n’était pas la seule à vivre ce genre de mésaventure. D’autres célébrités et familles seraient aussi dans le même cas.
La victime va porter plainte
Malgré tout, la star de Familles nombreuses, la vie en XXL a tenu à rassurer ses fans. En contact avec les responsables de la CAF, Amandine Pellissard a en effet confié que l’agent en question a fait l’objet d’une « sanction disciplinaire ». Des propos que la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) avait par la suite confirmés. Le seul petit bémol c’est que la jeune maman n’a reçu aucune preuve concernant cette sanction.
Du coup, la femme d’Alexandre va prendre les choses en main. En ce sens, elle va porter l’affaire devant la justice afin de s’assurer que la personne malintentionnée va répondre de ses actes. Reste à découvrir si les preuves qu’elle a en sa possession seront suffisantes pour que la balance penche en sa faveur.