La plupart des jeunes qui intègrent le milieu de la télé-réalité espèrent par la suite devenir des influenceurs. Les stars du petit écran comme Maeva Ghennam, Astrid Nelsia ou encore Milla Jasmine ont su tirer leur épingle du jeu grâce à leur popularité et leur notoriété.
Il est en effet devenu très facile pour elles d’en tirer profit. Pour le cas de l’ancienne compagne de Mujdat, la jolie brune a enchaîné les tournages des émissions de téléréalité. Pour rappel, les téléspectateurs ont fait sa connaissance dans Les Princes de l’Amour 3, diffusée sur W9 en 2015.
Depuis, Milla est devenue une star du petit écran grâce à ses apparitions dans les Anges, 10 Couples Parfaits 4 ou encore Les Marseillais vs le reste du Monde 6. Forte de son succès, elle a réuni une communauté de fans très importante sur les réseaux sociaux.
Face à un tel engouement, l’influenceuse aux 3 millions d’abonnés sur Instagram s’est lancée dans un business très lucratif. Il s’agit bien évidemment des placements de produits, une activité qui lui permet d’empocher un salaire confortable à six chiffres.
Quel est le salaire mensuel de Milla Jasmine ?
Cela fait presque six ans que l’ex-candidate d’Objectif Reste du Monde enchaîne les apparitions dans les émissions diffusées, entre autres, sur W9. En ce sens, ses participations à ces programmes lui offrent une grande visibilité. Du coup, sa popularité grimpe en flèche sur la Toile comme en atteste le nombre de ses followers sur YouTube ou sur Instagram. Il s’agit d’une immense communauté qui permet à l’influenceuse d’enchaîner les partenariats.
Dans le documentaire Les 20 ans de la télé-réalité sur TMC, Milla a précisé que « l’un ne va pas sans l’autre », émissions et visibilité sur la Toile. Ainsi, elle attire de plus en plus l’attention des marques. Autant dire que la jeune femme de 32 ans croule sous les demandes de partenariats. Grâce aux placements de produits et aux codes promotionnels, elle gagne beaucoup d’argent.
Forte de sa popularité, la candidate des Marseillais vs le reste du Monde 6 profite actuellement d’un salaire mensuel très confortable. En effet, son métier d’influenceuse lui permet de gagner un joli pactole. Dans les colonnes du magazine Public, la trentenaire a confié qu’elle touche « entre 20 000 et 100 000 euros par mois ».
Voilà une coquette somme qui permet à Milla Jasmine de profiter d’une vie de luxe au pays de la démesure. Installée à Dubaï, la belle brune a cependant confié que ce joli pactole peut varier d’un mois à l’autre. La raison ? Tout dépend des placements de produits. Du coup, la candidate de télé-réalité a précisé : « On n’a pas de salaire fixe ».
Pourquoi l’influenceuse a-t-elle déménagé à Dubaï ?
Contrairement à l’animateur de C8 Cyril Hanouna qui ne rechigne pas à payer ses impôts en France, bon nombre de stars des réseaux sociaux choisissent de s’exiler de leur plein gré à Dubaï. C’est le cas notamment de Julien/Manon Tanti ou encore Jessica Thivenin/Thibault Garcia. Pourtant, ils gagnent beaucoup d’argent grâce à ce business juteux des placements de produits.
Cette ville des Émirats arabes unis propose une fiscalité très avantageuse aux détenteurs de passeport occidental. Outre la météo ou encore la multi-culturalité, Milla Jasmine a décidé de s’installer à Dubaï pour cette raison.
«Pourquoi rester dans un pays où on te prend 60% de ce que tu gagnes alors qu’ici, on ne nous prend quasiment rien ?»
Les problèmes d’insécurité en France ont également poussé la star d’Objectif Reste du Monde à s’expatrier dans la ville de la démesure. Quoi qu’il en soit, l’ex de Mujdat reste très présente sur Instagram, probablement pour s’adonner à cette activité qui lui rapporte beaucoup d’argent.
La candidate de téléréalité est-elle une ex-gogo danseuse ?
Dans les colonnes du magazine Public, Milla Jasmine a révélé qu’elle avait traversé des moments difficiles avant de connaître la gloire et d’empocher un salaire très confortable. Actuellement en couple avec un certain Lorenzo, la star de télé-réalité est revenue sur les rumeurs à ses débuts. Elle a ainsi déclaré sans détour que cette activité lui avait servi et même permis de prendre confiance en elle.
« Quand je suis arrivée aux États-Unis à seulement 21 ans, je n’avais pas de papiers, donc j’ai pris ce qu’il y avait (…) j’étais gogo-danseuse et on ne va pas se mentir, c’était plus vendeur d’avoir un postérieur imposant et une grosse poitrine. Après, c’est sûr que les techniques ont beaucoup évolué. Aujourd’hui je m’y prendrais sans doute différemment »