Depuis la seconde vague épidémique du COVID-19, la fermeture des commerces non essentiels, la mise au chômage partiel de nombreux employés, le monde est en proie à de nombreuses difficultés financières.
Récemment en Belgique, une commerçante de 24 ans en détresse financière à cause du confinement, a même commis le pire et nous a quitté.
Plus que jamais, il est légitime de s’interroger sur les aides que le gouvernement peut apporter pour sortir la tête de l’eau. Et il semble que l’exécutif soit très attentif aux difficultés rencontrées par les Français cette année.
La prime de Noël reconduite ?
À ce jour, le gouvernement d’Emmanuel Macron n’a pas encore acté de reconduction de la prime de Noël 2020. Pour être fixé sur cette question, il faudra attendre le mois de décembre. Le chef du gouvernement, Jean Castex annoncera à ce moment là, probablement une bonne une nouvelle pour les familles.
Mise en place depuis 1998, elle est destinée aux personnes bénéficiants de minimas sociaux. Chaque année, il faut attendre les 15 jours qui précédent Noël pour espérer toucher cette aide précieuse pour les familles.
Il faut rappeler que cette aide de l’État s’adresse aux foyers les plus précaires du pays. Ces personnes seules ou ces familles, sont déjà concernées par des aides telles que le RSA (versée par la CAF), ou encore l’ASS (versée par Pôle emploi).
Comment procéder pour le versement de la prime de Noël ?
Au total, ce sont plus de 2,3 millions de foyers qui ont été concernés par cette prime de Noël en 2019. En ce qui concerne son versement, il est automatique et correspond à plusieurs centaines d’euros selon les situations familiales.
En effet, il faudra compter 152,45 euros pour un célibataire sans enfant ou alors 228,67 euros pour un couple sans enfant selon le site de l’Internaute. Les montants augmentent ensuite en fonction du nombre d’enfant.
Il convient de noter que cette prime de Noël n’est pas à confondre avec l’aide exceptionnelle de solidarité qui sera versée cette année à la fin du mois de novembre. Une aide accordée par l’État, pour faire face aux difficultés liées à la crise du COVID-19. Elle concerne les bénéficiaires du RSA, des APL, de l’ASS mais aussi les étudiants boursiers.