Rachel et Liam jouent régulièrement à l’EuroMillions. Les deux étudiants de 21 et 19 ans, qui résident dans le comté de Hertfordshire, en Angleterre, ont leurs numéros préférés.
Rachel et Liam se voyaient déjà millionnaires
Comme le spécifie Rachel aux journalistes du Sun, l’étudiante avait souscrit à un système d’achat automatique de tickets via l’application Camelot. Cette solution permettait au couple de jouer ses numéros fétiches à la loterie nationale britannique et européenne. Les deux jeunes gens n’y prêtaient plus vraiment attention, sauf les soirs de tirage au sort.
Vendredi 26 février dernier, l’Anglaise a consulté les résultats de l’EuroMillions en se rendant sur son application. Surprise ! A son grand étonnement, la combinaison gagnante était composée de ses numéros préférés. Rachel, qui n’arrivait pas à le croire, a immédiatement appelé son compagnon et sa mère.
Surexcitée, la jeune femme s’imaginait déjà millionnaire, tout comme son petit ami Liam. Le couple faisait des plans sur la comète, quand la réalité les a bien vite rattrapés. Malheureusement, ils ne pourront pas percevoir les 210 millions d’euros mis en jeu (environ 182 millions de livres).
Le jackpot de l’EuroMillions leur file sous le nez !
Après avoir personnellement contacté l’application Camelot, Rachel a rapidement déchanté en apprenant une très mauvaise nouvelle. Son interlocuteur lui a confirmé qu’elle avait bien joué les bons numéros, mais que sa participation n’avait pas été finalisée. Pourquoi ? Rachel ne possédait pas les fonds nécessaires. En clair : lorsque l’application a tenté de prélever sur son compte le prix du ticket, la transaction a été refusée.
Finis les espoirs de richesse, le retour à la réalité a été particulièrement dur. « Ça m’a brisé le cœur quand l’homme au téléphone nous a dit que nous n’avions pas vraiment acheté le billet », confie Liam au Sun. Les deux jeunes gens n’ayant pas pu confirmer leur participation, le jackpot a été remporté par un Suisse. Rachel et Liam ont bien du mal à se remettre de leur déception, mais ils essaient de faire preuve de philosophie.
« Nous ne sommes pas plus riches ou plus pauvres que ce matin », souligne la jeune femme. Rachel, qui espère que la somme servira à quelqu’un réellement dans le besoin, a décidé de continuer à jouer. L’étudiante ne souhaite toutefois plus utiliser ses numéros fétiches, désormais synonymes de malchance à ses yeux.