Sa réponse n’aura pas tardé. Ce lundi, Jean-Marie Bigard a répondu à François Cluzet dans les Grandes Gueules, sur RMC. L’humoriste est revenu sur les récentes déclarations de l’acteur au micro de RTL, qui l’avait qualifié de « roi des beaufs ».
François Cluzet tire le premier, en traitant « d’abruti » Jean-Marie Bigard
L’assaut a été donné par François Cluzet, ce dimanche au micro de RTL. L’acteur, venu évoquer sa carrière et ses projets, était également interrogé au sujet de ce qui l’énerve. La réponse ne s’est pas fait attendre, puisque le comédien a immédiatement désigné Jean-Marie Bigard.
Le qualifiant de « roi des beaufs », François Cluzet s’est emporté en dépeignant l’humoriste comme « un abruti total, qui en plus vous explique qu’il va peut-être se présenter à la présidentielle avec un mot d’ordre : je me présenterais pour le peuple, au lieu de dire pour les beaufs que je suis ».
François Cluzet revenait alors sur l’une des vidéos de Jean-Marie Bigard, dans laquelle l’humoriste s’en prenait vivement à Olivier Véran, ministre de la Santé. Jean-Marie Bigard reprochait à ce dernier des mesures excessives de lutte contre le Covid-19, notamment la fermeture des bars et restaurants dans les Bouches-du-Rhône.
La réponse de l’humoriste à l’acteur n’aura pas tardé. Ce lundi, Jean-Marie Bigard s’est exprimé à son tour, sur les ondes de RMC.
Jean-Marie Bigard réplique, en méprisant à son tour François Cluzet
« J’ai insulté Véran exprès pour faire réagir des mecs comme Cluzet », a commencé par faire savoir Jean-Marie Bigard, dans les Grandes Gueules sur RMC.
« Qu’il me colle l’étiquette de roi des beaufs, ça ne me dérange pas ; mais qu’il remplace justement le mot beauf, par le mot peuple. Moi, je traite d’imbéciles une poignée de nos gouvernants (…), mais lui il insulte les millions de personnes qui m’aiment. C’est grave »,
souligne l’humoriste.
« Il se retrouve à lécher le c… à nos gouvernants », a continué Jean-Marie Bigard, avec le langage qui le caractérise. « Il insulte le peuple démuni (…) qu’on laisse crever. (…) Je lui rappelle que ‘allez tous vous faire hum, hum hum’ s’adresse à nos gouvernants, et c’est une message sous forme de promesse ou de menace, selon les goûts », a insisté l’humoriste avant de conclure :
« J’ai des c…lles et je les sors, je n’en veux pas à François Cluzet de ne pas avoir été livré ».