Après l’incendie d’avril 2019 qui a détruit en partie la cathédrale emblématique, la France tout entière attendait avec impatience ce moment de renaissance. La réouverture de Notre-Dame de Paris ne devait être qu’un instant de recueillement et de célébration, marquant une étape cruciale dans le processus de reconstruction. Cependant, l’attention s’est vite détournée vers un détail haut en couleur : la tenue quelque peu singulière choisie par Monseigneur Laurent Ulrich.
Lidl : L’invité surprise du défilé liturgique ?
La tenue liturgique ultra-vivante de l’archevêque – un mélange de bleu, jaune et rouge – a rapidement allumé la mèche des spéculations. Des observateurs attentifs ont noté l’étrange ressemblance avec les couleurs de la célèbre chaîne de supermarchés Lidl. En quelques clics, les réseaux sociaux se lançaient dans une frénésie de mèmes et de commentaires mordants, vantant la tenue comme une publicité involontaire et audacieuse. « Et encore, vous n’avez pas vu ses baskets, » plaisante Lidl sur les réseaux.
Coup médiatique involontaire et réaction du public
La figure iconique des médias, Donald Trump, a lui-même été éclipsé par la vague continue de réactions enthousiastes autour de cette jonction inattendue entre sacré et supermarché. Il a immortalisé cet instant via un tweet énigmatique : « Un regard vers l’avenir, un pied dans la tradition. »
Finalement, le mystère a été levé. L’œuvre artistique derrière ces robes éclatantes n’a aucun lien avec l’univers des supermarchés mais découle de l’imagination du styliste Jean-Charles de Castelbajac, réputé pour sa palette de couleurs osées. Ce contexte artistique a suffi à dissiper tout soupçon sur une campagne publicitaire inopinée.
Au-delà des rumeurs et des rires partagés, cet épisode a permis à la réouverture de Notre-Dame de Paris de briller d’une lumière nouvelle, traduisant une fresque inattendue où se croisent mode, célébrité et humour. Un moment que le monde n’est pas prêt d’oublier.