Téléréalité

Maeva Ghennam choque avec son parfum à 200 euros, elle se fait lyncher par les internautes qui le trouvent trop cher


Maeva Ghennam, ex des "Marseillais", fait parler d'elle avec "Rouge Rogue". Un parfum à 200 € qui divise. Qu'est-ce qui motive ce prix sulfureux?

Révélée en 2018 dans l’émission populaire Les Marseillais : Australia, Maeva Ghennam a rapidement gagné sa place sous les feux des projecteurs. Avec ses répliques cultes et son caractère bien trempé, elle est devenue une figure incontournable de la télé-réalité française. En dehors du petit écran, elle s’est aussi imposée sur les réseaux sociaux, où elle est suivie par plus de 3,2 millions d’abonnés sur Instagram.

Un projet ambitieux : lancement du parfum « Rouge Rogue »

Forte de sa notoriété, Maeva s’est lancée dans un projet entrepreneurial audacieux en créant son propre parfum, « Rouge Rogue ». Commercialisé en précommande pour un montant de 200 €, ce parfum suscite un vif débat. La jeune influenceuse a confié avoir collaboré avec Black Ants et travaillé avec le « nez le plus connu de France » pour élaborer ce parfum qu’elle décrit comme « très sucré, très femme fatale ».

Des critiques acerbes : le prix divise les internautes

Bien que Maeva Ghennam affiche sa fierté sur les réseaux sociaux, le prix de son parfum a provoqué de nombreuses réactions mitigées. Certains internautes, perplexes, ont fait part de leur scepticisme en déclarant : « Même Georgina Rodriguez n’a pas osé vendre son parfum à 200 € ». Ces commentaires reflètent un sentiment partagé par beaucoup, soulignant la difficulté à justifier un prix si élevé pour un produit qui ne peut même pas être testé en magasin.

La défense de Maeva Ghennam face aux critiques

Face à cet accueil glacé, Maeva Ghennam a tenu à se défendre. Elle a expliqué sur ses réseaux la raison derrière ce prix, qu’elle qualifie de justifié, en le comparant à des parfums de niche comme ceux de Louis Vuitton ou Dior, qu’elle assure être bien plus chers : « Quand vous achetez des parfums de niche de chez Louis Vuitton ou Dior, vous les payez 400 € ». Elle argue que son parfum de luxe, fabriqué en France, est une offre à un prix « le plus faible possible » pour sa communauté.

En dépit des polémiques, Maeva espère que la qualité de son parfum réussira à séduire le public. Ce lancement marque une nouvelle étape dans la diversification de ses activités, bien qu’il ne soit pas sans rappeler les défis auxquels elle fait face dans son parcours d’entrepreneuse. L’avenir dira si « Rouge Rogue » parviendra à se faire une place dans le cœur des consommateurs.

Maeva Ghennam, malgré les critiques, reste déterminée à promouvoir cette aventure olfactive, convaincue que la passion et l’authenticité sauront parler d’elles-mêmes. Se repositionnera-t-elle sur le marché ou restera-t-elle une annonce éphémère dans le vaste monde des fragrances ?