Marie Buchan est maman de huit enfants. Grâce aux allocations familiales, elle a pu s’offrir une opération de chirurgie esthétique en Turquie. L’Anglaise de 36 ans n’a pas hésité à dépenser une petite fortune pour passer d’un 90 B à un 90 E.
La mère de famille nombreuse est déçue de son opération de chirurgie esthétique
Originaire de Birmingham, Marie a fait la Une des médias anglais l’année dernière, car elle a osé se plaindre. Elle n’était pas satisfaite du résultat de son opération et elle regrettait même d’avoir modifié son corps. L’Anglaise a donc dépensé près de 3 000 euros pour rien, comme elle l’expliquait en 2019 dans l’émission This Morning.
Face aux caméras, la mère de famille assurait ne pas avoir employé l’argent des allocations pour son opération. « Rien de tout cela n’est payé par mes allocations. En allant à l’étranger, j’ai réduit de moitié le coût », se justifiait Marie, tout en soulignant avoir travaillé à temps partiel. Mais les téléspectateurs s’interrogeaient : si l’argent de son travail a servi en totalité à payer son opération en Turquie, elle n’aurait pas pu le faire sans les aides sociales.
Marie Buchan assure que la vie est meilleure avec les aides sociales
Ce n’est pas la première fois que Marie Buchan indigne les Britanniques. En 2017, la mère de famille confiait avoir déjà eu recours à la chirurgie esthétique. A cette époque, elle travaillait à temps partiel, mais s’était fait refaire « l’entre-jambes »…
La Britannique avait également provoqué la colère des téléspectateurs en apparaissant dans une émission. Alors qu’elle expliquait vivre en partie des prestations sociales, Marie s’était rendue chez un concessionnaire. Elle souhaitait acheter une Range Rover à 70 000 livres…
Lors de sa première apparition à la télévision, Marie Buchan était filmée par les caméras de Benefits Britain (sur la chaîne 5). Elle expliquait alors vivre principalement des aides sociales versées pour ses enfants : Tia, Leah, Latoya, Joshua, Alisha, Mikayla, Amelia et Olivia. Célibataire, Marie occupe un poste d’aide-soignante à temps partiel. Mais ce travail ne lui suffit pas pour joindre les deux bouts.
Malgré ses difficultés financières, l’Anglaise assurait à la télévision : « La vie a meilleur goût avec les prestations sociales. »