Cette mère de famille anglaise perçoit des allocations depuis une trentaine d’années. Mandy Cowie touche environ 1 400 livres mensuelles d’aides sociales, soit près de 1 550 euros.
Mandy a eu son premier enfant à 18 ans
Fan de tatouages et de piercings, Mandy assure qu’elle n’a pas l’intention de trouver un travail. Désormais grand-mère, la Britannique encourage ses enfants à faire comme elle pour percevoir également des aides de l’Etat.
L’Anglaise a déjà une quinzaine de petits-enfants et espère en avoir une cinquantaine. « J’ai eu mon premier à 18 ans et mon dernier à 36 ans et je leur ai dit que je voulais 50 petits-enfants », fait-elle savoir.
Pour vivre, Mandy perçoit différentes aides chaque mois : l’allocation d’invalidité de son fils Jack, des crédits d’impôt pour tous ses enfants, des allocations familiales et d’autres aides pour familles nombreuses. Une somme qui permet à la mère de famille de vivre dans une maison de quatre chambres à Hastings, dans l’East Sussex.
La mère de famille revendique son droit de vivre des allocations
Mandy Cowie déclare à la télévision britannique : « Les gens sont peut-être choqués que je bénéficie d’allocations depuis si longtemps, mais je m’en fiche. Je ne peux pas travailler à cause des enfants et bien que les grossesses n’aient pas été planifiées, j’aime avoir une grande famille ».
La mère de famille estime qu’elle ne pourrait de toute façon pas retrouver d’emploi qui lui permette de maintenir son niveau de vie actuel. « Je ne trouverais probablement pas un emploi aussi bien rémunéré que celui que j’ai actuellement. Les gens pourraient juger, mais s’il y a des aides, qui ne les accepterait pas ? »
Mandy vit encore avec trois de ses enfants, dont sa fille Charlie qui à 17 ans est déscolarisée. Quant à sa fille Cristal, 27 ans, elle est également à la tête d’une famille nombreuse. La jeune maman fait en sorte de ne pas vivre avec le père de ses enfants, dans l’unique but de percevoir plus d’allocations.
« Je suis toujours avec le père des bébés, mais il ne vit pas chez moi. Les gens disent qu’il y vit, mais ce n’est pas le cas. Si nous devions vivre ensemble, nos allocations cesseraient, alors autant être ensemble et vivre dans des maisons différentes », explique-t-elle à la chaîne Channel 5. Cristal suit donc parfaitement l’exemple de sa mère, Mandy.