Face à Cyril Hanouna et son équipe, Pierre-Jean Chalençon était plus qu’euphorique. Visiblement ravi de se trouver sur C8 ce mercredi soir, le bicentenaire de Napoléon Bonaparte semblait le mettre dans tous ses états. Il faut dire que l’ancien acheteur d’Affaire conclue voue une admiration sans fin à l’empereur, dont il se considère d’ailleurs comme le grand spécialiste.
« Les mecs, remettez-le en garde à vue ! », s’exclame Cyril Hanouna
Invité pour débattre de la question suivante « Fallait-il célébrer Napoléon ? », Pierre-Jean Chalençon faisait face au député Alexis Corbière. Si le premier était évidemment pour la célébration de ce personnage historique, le second l’était nettement moins. Un débat animé s’est donc engagé entre les deux invités du jour, avant que le spécialiste de Napoléon se lâche complètement en plateau.
S’adressant à Benjamin Castaldi, Pierre-Jean Chalençon lance : « Avec mon petit chouchou, on va manger ! ». Ravi de cette taquinerie, il continue en s’exclamant : « Je vous invite tous au Palais Vivienne ! ». Pierre-Jean Chalençon ne s’arrête pas là, puisqu’il prend place au centre du plateau pour inviter l’ensemble des personnes présentes : « Je vous invite tous ! On va au Palais Vivienne ! Youpi ! », s’exclame-t-il en agitant les bras.
Des déclarations qui amusent autant qu’elles gênent. Cyril Hanouna tente d’ailleurs d’y mettre un terme en lançant : « Les mecs, remettez-le en garde à vue ! ». L’animateur conseille ensuite à Pierre-Jean Chalençon de ne plus faire de « soirées » au palais, mais seulement des « des après-midi ». Rappelons que le 9 avril dernier, le propriétaire du palais Vivienne était en effet placé en garde à vue.
Pierre-Jean Chalençon a eu des idées noires
Entendu dans le cadre de l’affaire des dîners clandestins, Pierre-Jean Chalençon avait dû faire face à une importante polémique. Une forte pression médiatique que le collectionneur avait très mal vécue. Ce mardi 4 mai, Pierre-Jean Chalençon était également sur le plateau de TPMP. Il a alors confié à quel point ces accusations l’avaient ébranlé.
Le grand spécialiste de Napoléon a souligné s’être senti persécuté, lui qui voulait simplement « survivre, comme beaucoup de chefs d’entreprise ». Se retrouver en garde à vue a donc été dur, « très dur », a-t-il insisté. Pierre-Jean Chalençon a d’ailleurs eu des idées noires. Une période bien sombre qu’il peut heureusement reléguer au passé.
