La nouvelle a surpris de nombreux téléspectateurs : ce mercredi 16 septembre 2020, Cyril Hanouna a fait savoir que Christian Quesada avait contacté la production de TPMP. Une lettre écrite depuis la prison de Bourg-en-Bresse et adressée au producteur de l’émission de C8, Guillaume Genton.
Le contenu du courrier a été lu en direct dans l’émission Touche Pas à Mon Poste.
Une lettre pour dénoncer les documentaires de TPMP sur l’affaire Quesada
L’ancien champion des 12 Coups de Midi a souhaité contacter la production de C8 au sujet d’une série de documentaires réalisés par la chaîne à son sujet.
Christian Quesada, condamné à trois ans de prison pour corruption de mineur, a pu visionner les documentaires le concernant, depuis sa cellule.
Le producteur Guillaume Genton, présent sur le plateau de TPMP ce mercredi, a lu à haute voix la lettre en question. Un courrier dans lequel Christian Quesada commence par s’en prendre au producteur, puis à C8 :
« Pensez-vous vraiment que je vais accorder du temps à quelqu’un travaillant pour une chaîne où depuis 15 mois vous n’avez eu de cesse de manier lynchage médiatique, insultes, diffamation pure et simple et pire, calomnie, au mépris de la plus élémentaire présomption d’innocence »,
écrit-il.
Christian Quesada s’en prend à Cyril Hanouna en personne
Dans ce même courrier, Christian Quesada effectue une comparaison de son affaire avec d’autres procès très graves, ce qui n’a pas manqué de faire bondir les chroniqueurs de TPMP.
Selon lui, ces autres affaires judiciaires se sont « transformées en procès cathodique plus virulent que pour Fourniret, Lelandais ou Abdeslam », par « un aveuglement haineux (motivé par une course au buzz) ». Des propos qui ont choqué le plateau de Touche Pas à Mon Poste, alors que Christian Quesada finit sa missive en s’en prenant à Cyril Hanouna en personne.
« Vous remercierez votre patron (Cyril H) pour cette phrase collector au sujet de Michel Cymes : ‘Je suis contre l’acharnement médiatique’, Non mais LOL quoi », conclut l’ex-champion des 12 Coups de Midi, visiblement las que l’on parle de son affaire dans les médias.