Dans une déclaration saisissante, une randonneuse locale brise le silence et fournit des détails sur le jour crucial du 31 mars 2024 lorsqu’elle a découvert les ossements du petit Émile, 2 ans et demi.
Cette affaire tragique qui a commencé le 8 juillet 2023 avec la disparition du jeune garçon au cœur des montagnes escarpées du Haut-Vernet, dans les Alpes françaises, a ému la nation toute entière.
La découverte de la randonneuse
La randonneuse, dont l’identité reste secrète, était en train d’explorer les hauteurs du Haut-Vernet lorsqu’elle est tombée sur un crâne humain. En l’absence de couverture cellulaire, la randonneuse a fait le choix audacieux, mais controversé, d’emporter le crâne à la gendarmerie de Seyne-les-Alpes, à une vingtaine de minutes de route.
Selon elle, cette initiative visait à accélérer le processus d’identification et d’enquête, même si cela signifiait potentiellement perturber des indices.
Contrariant certains proches de l’enquête qui auraient préféré qu’elle « ne touche à rien », la randonneuse, dérangée par sa découverte, a placé le crâne dans un sac en plastique avant de la ramener chez elle.
Cette décision a permis de relancer l’enquête sur la disparition d’Émile et de donner aux enquêteurs une zone de recherche précise.
Le mystère de la randonneuse
Malgré son rôle vital, peu d’informations ont été révélées concernant la randonneuse. Est-elle une résidente locale de Haut-Vernet ou une étrangère ? Selon une source proche de l’enquête citée par Le Figaro, la randonneuse est décrite comme une « locale ».
Cependant, une autre source s’exprimant auprès de nos confrères de RTL contredit cela, spécifiant qu’elle n’habite ni Vernet ni Haut-Vernet. Le maire de la région a également admis à la Provence ne pas savoir qui elle est, mais estime qu’elle n’est pas du village car elle n’a pas pris le chemin de randonnée habituellement connu des locaux.
Les enquêtes en cours
La confirmation de l’identité d’Émile a conduit à une intensification des recherches pour retrouver les restes manquants du corps de l’enfant. Les autorités, assistées par des anthropologues, cherchent à comprendre pourquoi le crâne de l’enfant n’a pas été découvert plus tôt, malgré les recherches intensives menées après sa disparition.
Alors que l’enquête continue avec une impulsion renouvelée grâce à la randonneuse, le mystère entourant la disparition tragique du jeune Émile reste épineux. L’objectif ultime reste de trouver la vérité et de rendre justice au petit Émile, tout en fournissant des réponses à sa famille endeuillée.
Le rôle de la randonneuse a été crucial dans la relance de cette affaire. Sans elle, la découverte des restes d’Émile aurait pu être retardée, voire jamais réalisée.
Cette situation souligne l’importance de la communauté dans la résolution de ces tragédies. La question la plus brûlante reste cependant la suivante : qui est cette randonneuse du Haut-Vernet ?
Source : Midi Libre