Fern est une jeune femme de 22 ans qui réside aux Philippines, comme elle le fait savoir sur son compte TikTok. Fan de fitness, elle multiplie les séances d’entraînement à la salle de sport, mais dernièrement, les agissements d’un homme l’ont particulièrement choquée. Et pour cause, ce dernier s’en prend à elle, comme le rapporte Bored Panda.
Des attouchements en salle de sport
Comme elle en a l’habitude, Fern est en train de filmer l’un de ses entraînements de fitness, lorsqu’un homme s’approche. Ce dernier arrive par derrière la jeune femme avant de poser ses mains sur son postérieur. Lors de cet incident, une autre personne est à côté d’elle dans la salle de sport, mais elle ne réagit pas. Fern est traumatisée, d’autant plus que ce ne serait pas la première fois que l’homme agit de la sorte à la salle de sport. Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que cette fois-ci il est filmé.
Fern a donc décidé de partager la vidéo sur son compte TikTok, où elle a rapidement fait le buzz. La séquence semble depuis avoir été supprimée du réseau social. Elle permet en effet de voir un homme s’approcher de la sportive avant de poser ses mains sur elle. « J’ai déjà parlé au propriétaire de la salle à ce sujet », rapporte Fern qui précise ne pas avoir publié la vidéo pour devenir célèbre ou obtenir des likes.
Fern accusée de mise en scène
La jeune femme veut sensibiliser les gens au sujet de ces pratiques en salle de sport. La vidéo de Fern a déclenché de très nombreux commentaires, parmi lesquels certains sont accusateurs. En effet, des internautes estiment que la sportive a mis en scène sa vidéo avec un homme qu’elle connaissait forcément. Des accusations que Fern réfute sur TikTok.
La jeune femme en pleurs explique que l’homme a été viré de la salle. « Il le mérite après ce qu’il a fait », souligne-t-elle. Fern peut compter sur le soutien de nombreux autres internautes, qui la défendent en commentaires. « Remarquez que tous ceux qui disent ‘mise en scène’ ou ‘ça n’arrive pas’ sont des hommes », souligne une jeune femme. Une autre insiste : « mise en scène ou non, ce n’est pas correct de blâmer la victime ».