Société

Une accro au sport en chambre témoigne : « J’ai déjà eu 130 hommes à 28 ans, dont 4 en une journée »


Frankie Considine a 28 ans et est atteinte d’une dépendance aux parties de jambes en l'air. Dans un témoignage relayé par The Sun, elle explique comment elle en est arrivée à un tel appétit. Sa quête effrénée de plaisir est devenue un véritable problème pour la jeune femme.

Tout a commencé après le divorce de ses parents lorsqu’elle n’avait que 13 ans. Très affecté par la situation, elle peine à s’épanouir et à attirer l’attention de son entourage. Elle se tourne alors vers les garçons et perd sa virginité à l’âge de 14 ans.

« J’ai toujours été une fille séduisante, plus élancée que mes amies, et grandir a été difficile pour moi. Donc je suppose que quand j’ai eu cette attention, je m’y suis accrochée ».

Elle entretient ensuite une relation de 4 ans avec quelqu’un mais les infidélités font vite leur apparition « Même si je l’aimais, je faisais l’amour avec quelqu’un d’autre au moins tous les quinze jours », révèle-t-elle.

Suite à la disparition de sa mère, Frankie mis fin à cette relation et se réfugia encore un peu plus dans les galipettes en multipliant les conquêtes.

« Il s’agissait surtout du frisson , mais aussi l’intimité et le rapprochement avec quelqu’un, qui remplaçait l’absence de ma maman », ajoute-t-elle.

Un besoin incontrôlable de faire l’amour

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Crédit: Frankie Considine

Tout s’accélère après la disparition de sa maman. La jeune femme enchaîne les relations et sa dépendance prend de plus en plus d’ampleur, la plongeant dans une profonde dépression.  Au total, le nombre de partenaires de Frankie s’élève à 130. Lors de son 21ème anniversaire, elle avoue même avoir 4 rapports avec 4 hommes différents.

« Je ne pouvais poursuivre ma journée que si je savais quand j’allais avoir mon prochain rapport », explique la femme.

Les galipettes prend pas à pas une place considérable dans sa vie, allant même jusqu’à prétexter une maladie pour ne pas aller travailler et ainsi assouvir ses besoins.

Une sexualité qui implique des risques

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Crédit: Frankie Considine

De cette hypersexualité découle évidemment des risques. N’utilisant aucun moyen de contraception, la jeune femme a vite contracté des MST dont le papillomavirus humain et la chlamydia. Elle est également tombée enceinte à plusieurs reprises mais ne pouvait pas identifier le père, elle a donc avorté.

En plus de ces problèmes, Frankie a développé des problèmes psychologiques. Constamment anxieuse, la jeune femme avait des troubles du sommeil et frôlait la dépression. Lorsque la femme s’est enfin confié sur son problème à un thérapeute, sa dépendance a été diagnostiquée. C’est là que le chemin vers la guérison a pu commencer.