Brigitte Bardot était l’invitée de Sud Radio ce mardi 7 juillet. Après avoir apporté son soutien aux forces de l’ordre, accusées de racisme et de violences, elle n’a pas mâché ses mots.
Invitée en direct à s’exprimer sur le sujet, l’ancienne actrice s’est exclamée : « J’en ai marre, et plus que marre », avant de s’en prendre au gouvernement.
Le coup de gueule de Brigitte Bardot : « La France n’appartient plus à la France ! »
Le 12 juin dernier, Brigitte Bardot partageait sur son compte Twitter un post de soutien aux policiers français. Alors que les forces de l’ordre étaient accusées de violences et de racisme, l’ancien mannequin se rangeait de leur côté.
« Vive la police française ! Vive ceux qui nous protègent avec courage et abnégation, ceux qui représentent la loi républicaine et se dévouent perpétuellement, jour et nuit, pour éviter que la racaille envahissante ne mette la population en danger. »
« Je suis française de souche (…) je vous emmerde, vous les donneurs de leçons, les politiquement corrects, bande de trouillards émasculés », écrivait-elle sur Twitter. Une prise de position qui avait fait vivement réagir les internautes.
Invitée sur les ondes de Sud Radio ce mardi 7 juillet, Brigitte Bardot s’est à nouveau emportée. Alors qu’une gendarme de 25 ans a été tuée par un chauffard samedi matin, elle s’est dite « écoeurée ».
Brigitte Bardot furieuse contre l’exécutif : « C’est scandaleux d’agir comme ça de la part d’un gouvernement »
« Je suis épouvantée, je suis écœurée. On est gouverné par des lâches, soumis à une partie de la France qui n’appartient plus à la France », lâche Brigitte Bardot à l’antenne de Sud Radio.
L’ex-figure féminine des années 60 tient à préciser : « C’est scandaleux d’agir comme ça de la part d’un gouvernement. (…) Il y a des moments où j’ai envie de quitter la France tellement c’est devenu dégueulasse. »
« Les flics ils doivent assurer la sécurité de la population quoi qu’il arrive et on doit toujours les respecter, souligne Brigitte Bardot. Maintenant, il y a des tas d’endroits où plus personne ne peut entrer, ni les pompiers, ni les médecins, ni personne. »
Pour l’ancienne muse, la France devrait être aux mains d’un « gouvernement autoritaire, qui remette un peu les pendules à l’heure ». « On se laisse envahir par des populations qui n’ont rien à voir avec nous et qui sont d’une extrême violence, d’une extrême cruauté. Je crois que tout le monde a peur », souligne-t-elle.