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Média

Le mini-short de Karine Le Marchand a choqué les fans

Image: Capture d'écran Youtube

Le 20 mai dernier, lors de la première journée de déconfinement, Karine Le Marchand (animatrice de « L’amour est dans le pré ») s’est remise au sport. Une bonne occasion pour sortir de chez elle.

C’est sur Instagram qu’on retrouve la fameuse photo de Karine Le Marchand avec son mini-short. Comme les mesures de confinement sont enfin levées, chacun est libre de faire du sport à l’extérieur. Et pourtant, pour Karine Le Marchand, c’est chez elle qu’elle semble faire du sport.

« Deconfinement J1 », « Bon courage à tous »

En effet, sur son compte Instagram, elle a publié une story d’elle en mini-short avec comme inscription « Deconfinement J1 » et « Bon courage à tous ». Une photo que la star de M6 semble avoir prise dans son appartement. Inutile de préciser que ses fans ont dû apprécier la photo même si celle-ci ne montrait que ses jambes dénudées et une petite partie du haut de son corps sans tee-shirt !Malheureusement, ce n’est pas l’unique chose que la communauté de l’animatrice a remarqué. En effet, la pièce où elle s’exerce est un véritable désordre, compte tenu de sa condition de vie qui est plutôt bonne.

Les live avec la communauté, un bon moyen de ne pas se sentir seule

C’est peut-être la nouvelle tendance du confinement pour plusieurs animateurs, journalistes, humoristes et chanteurs. Faire un live en direct de chez soi pour retrouver un semblant de vie sociale afin de ne pas se sentir seule. Et c’est également le cas pour Karine Le Marchand, qui avait proposé à sa communauté de discuter en live avec elle sur son Instagram.

« Vous vous connectez, et je vous prends au hasard, une fille, un garçon en alternance, on papote, les gens peuvent vous découvrir et vous contacter … Ça vous dirait ? »

Très bonne idée car très vite, de nombreux fans se sont montrés car ils voulaient rentrer en contact avec elle.

Malheureusement pour Karine Le Marchand, tout a vite basculé quand certains de ses followers ont émis de commentaires sur l’appartement dans lequel elle vivait, qualifié d’indécent par certains, et de « palace » pour d’autres.