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« Je ne sais pas où mon fils va habiter.. » : Agathe Auproux bouleversée à quelques jours de l’accouchement


À quelques jours de rencontrer son premier enfant, Agathe Auproux traverse une période particulièrement éprouvante. Entre incertitude immobilière et épuisement psychologique, l’ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste se confie sans filtre sur Instagram. Un cri du cœur sincère et bouleversant, loin des apparences lisses des réseaux sociaux…

Le compte à rebours a commencé. Agathe Auproux, 33 ans, s’apprête à donner naissance à son premier enfant. Une césarienne est déjà programmée, en raison de la position de son bébé. « S’il n’y a pas de complications d’ici là, je sais donc exactement quand je vais rencontrer mon fils. C’est imminent », confie-t-elle à sa communauté sur Instagram.

Mais derrière cette annonce, un stress bien plus profond se cache. Car à quelques jours de cette rencontre tant attendue, l’ex-chroniqueuse vit dans une situation de précarité émotionnelle et logistique qu’elle a décidé de rendre publique.

Une instabilité qui pèse lourd sur son moral

Dans une story publiée ce jeudi 31 juillet, Agathe Auproux a exprimé une inquiétude déchirante : « Je ne sais toujours pas où mon fils va habiter ». Depuis le début de sa grossesse, elle enchaîne les déménagements et se heurte à une réalité immobilière aussi complexe qu’imprévisible. Retards, urgences, désillusions… la jeune femme est toujours sans domicile fixe à quelques jours de l’accouchement, hébergée provisoirement chez la famille de son mari.

« Toujours ce marasme immobilier, toujours ces retards, toujours ces déceptions, toujours ces angoisses, toujours cette urgence, toujours cet inconfort », liste-t-elle, à bout.

“Je vis dans des sacs” : le quotidien chaotique d’une future maman

Ce climat instable affecte profondément le moral d’Agathe. Elle parle d’état dépressif, aggravé par les insomnies et le manque de repères. « À 33 ans mdr, à deux doigts d’accoucher, je vis dans des sacs, je ne sais même plus où sont stockées mes affaires, je n’ai aucune visibilité », explique-t-elle avec une franchise désarmante.

Elle évoque un besoin vital de stabilité, d’un chez-soi, pour elle et pour son futur bébé : « Il faut absolument qu’on ait un chez nous très vite », supplie-t-elle.

Une note d’espoir, malgré les épreuves

Malgré les difficultés, Agathe Auproux ne veut pas céder totalement au découragement. Dans un dernier élan d’optimisme, elle tente de relativiser : « Il y a bien pire que moi, je le sais, et les choses vont rentrer dans l’ordre, je le sais et je vais me sentir mieux un jour, je le sais. Je le sais ».

Un message chargé d’émotion, qui a profondément touché sa communauté. Elle a tenu à les remercier pour leur soutien, leurs mots doux et leur présence virtuelle précieuse dans ce moment charnière.

Une transparence rare sur les réseaux

À travers cette prise de parole, Agathe Auproux rompt avec l’image idéalisée de la maternité souvent véhiculée sur Instagram. Elle rappelle que la grossesse, aussi belle soit-elle, peut aussi être source d’angoisse, d’instabilité et de solitude.

Son témoignage sincère fait écho à celui de nombreuses femmes qui, comme elle, affrontent la maternité dans des conditions loin d’être idéales. Et cette voix, vulnérable mais forte, résonne avec d’autant plus de puissance.