Une sacrée surprise pour Katherine
Katherine pensait probablement que c’était un jour comme les autres. Ce jour-là, la jeune femme de 32 ans préparait tranquillement son repas lorsque quelque chose d’étrange s’est produit. Alors qu’elle tendait la main vers le sachet d’épinards qu’elle avait acheté chez Lidl, la jeune femme a vu un mouvement. Un véritable choc pour elle. Katherine n’a pas pu s’empêcher de crier et a rapidement fait appel à son époux, James.
Ensemble, ils ont remarqué qu’un lézard se trouvait dans le sachet d’épinards encore fermé. « Il mesurait plus de 10 cm de long. Il s’est réveillé et a commencé à marcher dans le sachet », a raconté le mari de Katherine.
Qu’est-il arrivé à cet animal ?
Lorsqu’ils ont découvert ce lézard dans le sachet d’épinards, Katherine et James ont eu très peur pour la vie de la petite bête. La raison en est que le paquet dans lequel elle se trouvait était resté dans le réfrigérateur pendant environ neuf jours. La principale préoccupation des deux tourtereaux à ce moment-là était donc de savoir si le lézard se portait bien. James a fait quelques recherches sur le reptile. Il a ainsi pu découvrir qu’il s’agissait d’un lézard des murailles italien.
À la suite de ce qui s’est passé, la RSPCA de Brighton a pris l’animal en charge. Selon un porte-parole du groupe, le lézard va bien. S’il n’est pas m*rt à cause du froid, c’est probablement parce qu’il est en état d’hibernation comme beaucoup d’autres espèces à cette période de l’année.
Un membre du personnel de la RSPCA envisage d’adopter le lézard dans quelques jours. De leur côté, James et Katherine ont reçu des excuses de la part de Lidl. L’enseigne a promis que son service d’assurance qualité procédait déjà à des examens pour éviter que ce genre de situation ne se reproduise.
Des traces de plusieurs insectes dans des sachets de thé
En parlant d’animaux dans un sachet de nourriture, sachez que des chercheurs ont découvert des traces d’insectes dans des sachets de thé. Au total, ils ont relevé les traces de près de 3264 invertébrés dans une dizaine de sachets de thé. Le plus surprenant est la « grande diversité » que ces chercheurs ont découverte dans ces paquets. Pour n’en citer que quelques-uns, il y avait des traces d’araignées, de mouches, de papillons, de cafards et plus encore.
En réalité, cette diversité s’explique par le traitement des herbes séchées. « Lorsqu’elles sont broyées, l’ADN de toutes les parties du champ où ces feuilles sont cultivées serait conservé et mélangé avec », révèle Science Post.
Par conséquent, cet ADN environnemental pourrait servir d’information essentielle aux chercheurs. « Le matériel végétal séché semble parfaitement adapté comme nouvel outil pour surveiller les arthropodes et les interactions arthropodes-plantes, détecter les ravageurs agricoles et identifier l’origine géographique du matériel végétal importé », ont-ils précisé dans leur étude.
