Le vendredi 26 juillet 2024 restera certainement gravé dans la mémoire d’Aya Nakamura. Cette artiste de 29 ans, connue pour avoir surmonté une enfance difficile avant d’atteindre la célébrité, a représenté la France lors de la très attendue cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques à Paris.
Elle a choisi cette occasion unique pour interpréter une compilation de ses tubes, dont ‘Djadja’ et ‘Pookie’. Pourtant, malgré son incroyable performance, un détail qui n’a échappé à personne a enflammé les réseaux sociaux.
Aya Nakamura et un détail incontournable
Pour sa prestation, Aya Nakamura a invité sur scène la Garde Républicaine et les choristes de l’Armée française, le tout devant l’Académie française. Un détail qui n’a pas manqué de faire réagir sur les plateformes sociales.
Cette démarche artistique fait l’effet d’un pont entre les « arts dits académiques », incarnés par le Louvre, et les « arts modernes ». Telle est l’image que le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et paralympiques a souhaité mettre en avant, désireux de réunir les générations, les registres musicaux et les langues.
Aya Nakamura face aux critiques
Malgré cette symbolique, Aya Nakamura a essuyé des critiques de la part de ceux qui étaient déçus par sa prestation. Voici la réaction d’un des internautes :
« Depuis le début j’adore! La façon dont ils montrent tous les monuments de Paris et mettent en avant les artisans c’est top mais l’arrivée d’Aya Nakamura a tout gâché… Aucune élégance et ces paroles qui ne veulent rien dire.. » expliquait un utilisateur sur Twitter.
Il faut souligner que cette prise de position n’émane pas de l’ensemble du public. D’autres fans de la star française ont exprimé leur soutien face à ces critiques, applaudissant sa performance et son courage.
De son côté, l’artiste a également endure des commentaires négatifs lorsque son nom a été annoncé pour cette cérémonie d’ouverture. Face à cela, elle a assumé sa position, dénonçant le comportement raciste de certains détracteurs sur ses réseaux sociaux.
« Je deviens un sujet d’état numéro un, » lançait-elle, avant de conclure : « Je vous dois quoi en vrai ? Kedal (rien). » En somme, malgré ces critiques, Aya Nakamura a su tenir tête, relevant le défi d’une prestation mémorable à l’ouverture des jeux Olympiques 2024.