Psycho

Atteinte d’hybristophilie, Mariya est attirée par un type d’homme très spécial

R.D.

En amour, chacun ses goûts. Pourtant, certains sont bien plus difficiles à assumer, surtout lorsqu'ils sont susceptibles de mettre en da*nger sa propre vie.

C’est pourtant ce que vit Mariya, jeune femme irrésistiblement attirée par… les serial k*llers.

« Je dirais que j’ai commencé à être fascinée par Jeffrey Dahmer, Ted Bundy et Richard Ramirez à l’âge de 16 ans, confie-t-elle. Mais ce n’est que plus tard, après avoir lu leurs affaires, que j’ai commencé à être vraiment attirée par eux. »

Une fascination qui dépasse la simple attirance, puisque Mariya entretient avec certains des relations épistolaires. La jeune femme leur écrit des lettres d’amour et conserve précieusement leurs réponses. Mariya tient également un carnet, qu’elle illustre avec des photos de ses cr*minels préférés.

La jeune femme s’est même fait tatouer les noms de deux cr*minels. Celui de Jeffrey Dahmer et de Dylann Roof.

Dylann Roof
Source : Dylann Roof – Facebook

Elle entretient une relation amoureuse

Interrogée par Gentside au sujet de son attirance, Mariya avoue donc entretenir une relation amoureuse avec l’un d’entre eux. Ravie, la jeune femme écrit régulièrement à son amoureux, actuellement emp*risonné. Mariya va même lui rendre visite en pr*son. Elle préfère cependant ne pas révéler l’identité de son compagnon.

Lorsque les journalistes lui demandent comment elle réagirait si un proche se faisait att*aquer par un serial k*ller, Mariya répond : « Je ne sais pas… Sur le moment, je serais probablement folle. »

« Mais peut-être que plus tard, lorsqu’il sera en pr*son, je lui écrirais et lui parlerais. J’essayerais de comprendre ses motivations », ajoute-t-elle.

L’hybristophilie : un réel symptôme qui suscite l’effroi et l’incompréhension

Mariya est hybristophile, comme de nombreuses personnes à travers le monde. En effet, il n’est pas rare que de d*ngereux dét*nus reçoivent régulièrement des lettres d’amour en provenance d’amoureuses. Une pratique qui porte un nom : l’hybristophilie.

Marc Dutroux, Anders Breivik ou encore Michel Fourniret ont donc le plaisir de lire régulièrement des mots doux dans leur cellule de pr*son. Un privilège partagé également par Salah Abdeslam, détenu dans la pr*son de Fleury-Mérogis.

Outre leur goût pour la v*olence, ces cr*minels ont tous en commun la célébrité. Leurs noms associés à la cr*auté, ainsi que leur statut de priso*nnier de longue durée, déclenchent chez de nombreuses femmes une réelle admiration. Qu’elles soient jeunes ou âgées, ces admiratrices n’ont alors de cesse de f*ntasmer sur ces personnes.

Pour preuve, Anders Breivik reçoit jusqu’à 800 lettres d’amour par mois.