Le papa du petit Isaiah Tota dénonce cette situation en critiquant le gouvernement. Dans sa storie Instagram, la star n’hésite pas à interpeller Emmanuel Macron. Il mentionne également les comptes officiels du ministère de la Culture et du gouvernement.
« Votre règle du siège d’écart est impossible à mettre en place quand les billets sont tous vendus depuis des mois ! On fait comment pour savoir qui a acheté telle ou telle place, qui est en groupe et qui ne l’est pas ? On va rechercher les gens dans la nature ? C’est n’importe quoi… »,
affirme Matt Pokora.
« Arrêtez de faire des annonces qui ne nous aident pas »
Visiblement très en colère, le compagnon de Christina Milian s’exclame : « Soit vous annoncez ‘concerts possibles avec port du masque obligatoire jusqu’à tant de personnes’, soit vous interdisez et au moins on sait à quoi s’en tenir et on passe à autre chose ».
« Arrêtez de nous laisser dans le flou et de faire des nouvelles annonces qui ne nous aident absolument pas », conclut Matt Pokora.
Matt Pokora énervé par les rayons de supermarchés interdits
Matt Pokora est décidément à fleur de peau en ce moment. La star continue sa storie en dénonçant la fermeture des rayons culturels dans les supermarchés.
Une décision que le chanteur trouve profondément injuste. « On a bien compris qu’on était la dernière roue du carrosse… Mais un peu de considération pour toutes celles et ceux à qui vous aimez être associés quand tout va bien ! », déclarait-il dernièrement.
Ce mercredi, le chanteur interpelle la ministre de la Culture Roselyne Bachelot en partageant la photo d’un rayon culturel interdit d’accès. « C’est donc nous le problème visiblement… », déplore-t-il.
Une colère partagée par bien d’autres artistes sur les réseaux sociaux. Le chanteur Benjamin Biolay fait lui aussi part de son mécontentement sur Instagram. « Nous continuons à nous éteindre dignement comme vous le voyez Jean Castex », écrit-il en interpellant le Premier ministre.
« Les décisions du gouvernement à l’égard des gens qui font notre culture, notre joie et notre fierté sont injustes et injustifiées », dénonce de son côté Amel Bent.