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JoeyStarr a mangé le cordon ombilical de son fils : il raconte son expérience

JoeyStarr - Five Starr - cordon ombilical - anecdote - culinaire
©BFMTV

Invité à l’antenne de Sud Radio, JoeyStarr a fait quelques confidences sur son univers gastronomique. L’ancien membre du groupe NTM a notamment raconté une anecdote peu ragoûtante sur la naissance de son fils. Une révélation qui a laissé les journalistes et les auditeurs sans voix.

L’été 1983, Didier Morville de son vrai nom découvre sa première vocation : celle de danseur, en compagnie de son ami Bruno Lopes alias Kool Shen. Après des années de galère entre une vie de SDF et son service à Baden-Baden, en Allemagne, il fonde le duo « Suprême NTM » avec son camarade. Propulsé au rang de star, JoeyStarr a indéniablement marqué de son empreinte l’histoire du rap français.

En parallèle à sa carrière de rappeur, il fait aussi ses premiers pas en tant qu’acteur, notamment un rôle de figurant dans La Haine de Mathieu Kassovitz. Le comédien a également prêté ses traits à des personnages dans le film La Tour Montparnasse ou encore Old School. Depuis peu, l’artiste porte une autre casquette, celle d’apprenti chef.

Venu faire la promotion de son magazine culinaire baptisé Five Starr sur Sud Radio, JoeyStarr a fait part de sa curiosité gustative. Le moins que l’on puisse dire c’est que son anecdote en rapport avec la naissance de son fils en a estomaqué plus d’un.

JoeyStarr
©instagram/ @joeystar_r_dah_punkfunkhero

JoeyStarr sans filtre sur Sud Radio

Nul doute que l’acolyte de KoolShen est un homme aux multiples facettes.  Outre son talent indéniable pour la danse et le rap, il a aussi fait parler de lui pour ses démêlés avec la justice. Qualifié de « bad boy », l’artiste n’a pas jugé nécessaire de démentir les commentaires peu élogieux à son encontre. De toute évidence, il a d’autres chats à fouetter comme son nouveau projet qui vient de voir le jour.

Le 20 décembre 2021, JoeyStarr était venu parler de son magazine Five Starr dédié à la cuisine sur les ondes de Sud Radio. En ce sens, l’interview était focalisée sur ses expériences dans le domaine. Fidèle à sa réputation, l’apprenti chef a tout d’abord confié :

« J’aime tout, je suis un vrai gourmand. Il y a très peu de choses que j’aime pas (…) J’ai pas tout mangé non plus, mais, en tout cas, il n’y a pas grand-chose qui me rebute. Par exemple, les couilles je les goûte crues pour voir quel goût ça a »

Sur sa lancée, l’ex-compagnon de Karine Le Marchand a raconté une drôle d’anecdote culinaire en rapport avec la naissance de Matisse en 2005. « Par exemple, j’ai goûté un petit bout du cordon ombilical de mon premier fils », disait-il. Ce, avant d’en révéler plus sur le goût et la texture : « C’est très caoutchouteux, ça a rien de passionnant. Si c’est pas assaisonné, c’est pas passionnant ».

Autant dire que personne ne s’attendait à ce genre de révélation. Cependant, force est de souligner que les journalistes de Sud Radio ont invité le seul et unique Didier Morville. En ce sens, il fallait se préparer à tout. Après les bienfaits de la consommation du placenta, JoeyStarr a donc testé le cordon ombilical de son fils.

Amateur de cuisine, en toute modestie

Tout laisse à penser que JoeyStarr n’a pas retenté l’expérience à la naissance de ses deux autres fils. Pour rappel, le rappeur est l’heureux papa de Matisse et de Khalil (2007) fruits de son union avec Leïla Dixmier ainsi que de Marcello (2015) né de son histoire avec une certaine Irène.

Bien que l’artiste ait décroché scolairement à l’âge de 12 ans, le papa poule qu’il est, met un point d’honneur à rappeler à sa progéniture l’importance de l’apprentissage et de l’éducation. A 54 ans, il continue d’ailleurs d’apprendre.

Dans son magazine culinaire Five Starr, il compte ainsi raconter les histoires des chefs atypiques (réfugiés, activistes, rescapés …). Bien que JoeyStarr soit passé derrière les fourneaux, il a tenu à préciser :

« Un cuisinier, c’est quelqu’un qui est capable de gérer un service pour 90 personnes, gérer des fortes affluences et ainsi de suite et le faire avec nuance à chaque fois. Ce qui n’est pas notre cas »