Après cinq ans d’amour avec le cycliste Nicolas Fleury, Vaimalama Chaves annonçait leur séparation en mai 2025. Une décision qu’elle qualifie de « sage », prise en toute bienveillance. Depuis, la reine de beauté devenue influenceuse et passionnée de musculation vit une existence qui lui ressemble davantage : libre, centrée sur elle-même et affranchie des attentes extérieures.
👶 « Je n’ai pas envie d’aimer quelqu’un plus que moi »
C’est dans une interview accordée à Purepeople que Vaimalama a abordé sans filtre la question de la maternité. À la question : « Souhaites-tu un jour devenir maman ? », sa réponse a été directe :
« Peut-être que plus tard je changerai d’avis. Mais aujourd’hui, je n’ai pas envie. »
Elle confesse qu’après des années à penser aux autres, elle a appris à se placer en priorité. « Je viens enfin de me mettre en premier », affirme-t-elle, assumant pleinement son choix égoïste mais assumé de profiter de son temps, de ses revenus et de sa liberté.
💪 Le corps, un argument central
Dans un monde où le corps des femmes est trop souvent scruté, critiqué, puis utilisé comme terrain d’injonctions, Vaimalama Chaves choisit la franchise.
« Ça va déformer mon corps, j’ai pas envie. Ça va me faire mal, et j’ai pas envie. »
Elle, qui a mis des années à aimer son apparence, notamment en musculation, redoute de perdre le contrôle de son image. Même l’allaitement, souvent idéalisé, ne trouve pas grâce à ses yeux :
« Dormir zéro parce qu’il faut se réveiller pour donner le sein ? J’ai pas envie non plus. »
💬 « Quand tu es maman, tu n’es plus jamais en paix »
Plus qu’un rejet du rôle de mère, ses propos traduisent une lucidité teintée d’anxiété. Observant les jeunes mamans autour d’elle, Vaimalama note leur stress constant :
« Tu es toujours inquiète pour les plus petits trucs. Est-ce qu’il va tomber malade ? Est-ce que je lui ai donné assez à manger ? Pourquoi est-ce qu’il pleure ? »
Ces pensées l’amènent à s’interroger : est-elle prête à porter ce poids émotionnel au quotidien ? Pour l’instant, la réponse est non. Et elle n’a pas honte de le dire.
🌿 Une parole qui libère
Avec cette prise de parole honnête, Vaimalama Chaves ouvre un espace de réflexion sur un sujet encore tabou : celui des femmes qui ne souhaitent pas – ou pas encore – devenir mères. Entre féminité, indépendance et refus de la douleur, son témoignage fait écho à toute une génération en quête de choix éclairés, loin des diktats sociaux.
« Je veux vivre pour moi. Et pour l’instant, c’est comme ça que je suis heureuse. »