Tout comme les hommes, beaucoup de femmes sont passionnées par le culturisme. Elles se donnent à fond dans leur passion, quitte à subir des transformations extrêmes jusqu’à devenir méconnaissables.
Comment concilier cette discipline (ou cette obsession) avec la maternité ? Par quel moyen se faire un nom dans un univers souvent dominé par les hommes ? Comment devenir des femmes à la musculature extraordinaire ? Découvrez l’histoire de 10 bodybuildeuses aux rêves démesurées, ambitieuses et qui forcent l’admiration. Vous allez être bouche bée !
1. Aleesha Young : le culturisme dans le sang
Le culturisme semble courir dans les veines d’Aleesha Young. La bodybuildeuse américaine vient en effet d’une famille de sportifs et de compétiteurs. Son père a notamment fait carrière dans le bodybuilding, une source d’inspiration pour elle.
Née en novembre 1984, la bodybuildeuse a décidé de faire de sa passion une carrière. Tombée dans « l’obsession » d’un corps ultra musclé très jeune, elle a débuté son entraînement à tout juste 15 ans. Quelques années plus tard, elle entre dans la cour des grands en participant à divers shows et compétitions. Commence alors son ascension fulgurante…
Dans le top 10 des bodybuildeuses professionnelles
Aleesha fait preuve d’une détermination infaillible. Elle travaille énormément si bien qu’elle a développé une musculature qui n’a certainement rien à envier à celle des hommes adeptes du culturisme. Certaines personnes la surnomment d’ailleurs la version féminine de Hulk. C’est encore peu dire…
Au milieu de la vingtaine, Aleesha s’inscrit à des compétitions de haut niveau aux côtés d’autres bodybuildeuses professionnelles. Elle termine première aux NPC USA Championships en 2014. Ensuite, elle passe à l’IFBB où elle figure dans le top 10 durant plusieurs années. Avec sa musculature hors norme, elle s’est fait une belle réputation et fascine le public. Mais tout le monde ne partage pas sa vision du physique idéal.
Musclée, mais toujours féminine
Les gens lui posent souvent la même question : pourquoi veut-elle autant de muscles ? Pour Aleesha, ce sont tout simplement des personnes qui ne comprennent pas le bodybuilding. Malgré sa silhouette hallucinante, elle avoue être très féminine. Elle aime se maquiller comme toutes les femmes, porter de jolies tenues et prendre soin d’elle.
Elle a arrêté les compétitions en 2020, sans pour autant délaisser son rêve de s’illustrer à la plus importante compétition de bodybuilding au monde, l’Olympia. Elle continue de s’entraîner et d’entretenir son physique. En dehors de sa passion, elle a aussi une vie de famille, notamment une petite fille prénommée Olivia.
2. Nataliya Kuznetsova, une bodybuildeuse aux mensurations démentielles
On vous prévient tout de suite, les photos de Nataliya Kuznetsova vont vous donner le tournis. Cette bodybuildeuse professionnelle ruse née en 1991 possède un physique incomparable. Comme si sa passion pour le culturisme ne suffisait pas, elle pratique aussi le powerlifting, un « sport de gros muscles » comme l’haltérophilie.
102 kilos pour 1,70 mètre, telles sont les mensurations de la culturiste. Vous vous en doutiez bien que ce ne sont que des muscles. Elle s’entraîne depuis son adolescence et sa transformation physique est incroyable. Elle a acquis une masse musculaire impressionnante au fil des années. Les chiffres sont éloquents…
Une femme encore plus musclée que les bodybuilders moyens
Les proportions des muscles de la bodybuildeuse sont plus élevées que la moyenne. Pour vous donner une idée : ses biceps font 47 cm et sa cuisse 75 cm. Cette femme est aujourd’hui très respectée non seulement pour sa force, mais aussi pour sa valeur du travail et sa persévérance. Quand on sait à quoi elle ressemblait avant sa transformation corporelle, on lui dit un grand bravo.
Sur la photo à gauche, Nataliya avait 14 ans. C’est l’âge auquel elle a commencé le powerlifting ou « force athlétique » dans l’objectif de gagner en masse musculaire. Trois ans plus tard, elle devient championne de bodybuilding au Grand Prix Baikal. Et les exploits vont s’enchaîner.
Une championne dans plusieurs disciplines
Si ses muscles très saillants font tourner les têtes, Nataliya a d’autres atouts. L’année 2014 a certainement été son année de consécration. Elle a en effet été sacrée championne du monde en haltérophilie et en développé couché. Elle est même détentrice des records dans ces sports.
Elle a arrêté les compétitions après l’IFBB Roumanie en 2019 où elle a fini deuxième. Elle continue néanmoins à prendre soin de ses muscles pour rester au top. Ses fans peuvent d’ailleurs apprécier son évolution sur Instagram où elle compte plus d’un million d’abonnés. Une vraie source d’inspiration pour celles et ceux qui veulent se dépasser dans le bodybuilding.
3. Julia Vins, la « Barbie musclée »
Cette belle Russe détonne un peu dans cette sélection. En effet, ses muscles ne sont pas aussi gigantesques que ceux d’Aleesha Young ou de Nataliya Kuznetsova. Mais ne vous y trompez pas, elle a toute sa place dans ce classement puisqu’elle est une véritable bodybuildeuse. Sous ses airs angéliques se cachent une battante et une force de la nature.
Elle est surnommée la « Barbie musclée » en raison de sa masse musculaire énorme qui contraste avec son apparence de poupée. Née en 1996, la jeune femme n’a pas toujours été attirée par le culturisme. Petite, elle s’intéressait davantage aux arts, mais cela a changé à son adolescence. Sa transformation corporelle a débuté vers l’âge de 12 ans.
Une véritable référence en powerlifting
Julia s’est mise à pratiquer l’haltérophilie dès son adolescence pour gagner confiance en elle. Voulant faire évoluer sa musculature, elle s’est par la suite faite encadrée par un entraîneur en dynamophilie ou powerlifting. Le début d’une passion dévorante et d’un entraînement intense…
La jeune bodybuildeuse enchaîne les concours et les succès. À partir de 2014, tout va très vite. Elle remporte la première place des championnats du monde de powerlifting deux fois, en 2014 puis en 2016. Dans la foulée, elle termine également première dans les compétitions nationales en Russie. Pour atteindre ses objectifs, cette amoureuse de fitness travaille très dur. Et vous allez voir qu’elle ne plaisante pas avec son hygiène de vie.
Un exemple pour les femmes
Julie Vins se donne les moyens de réussir dans sa carrière. Elle s’entraîne 5 jours par semaine et suit un programme alimentaire strict qui lui apporte environ 3000 kcal par jour. Contrairement à d’autres bodybuildeuses, elle avoue ne pas prendre de stéroïdes. À la place, elle préfère les sources de protéines saines, comme du poisson ou du poulet.
Mauvaise nouvelle pour ces messieurs tombés sous le charme de cette Barbie pas comme les autres, elle n’est plus un cœur à prendre. Elle partage la vie d’un haltérophile russe en herbe. Inspirante et un bel exemple de force et de courage, la bodybuildeuse et influenceuse par la même occasion a un joli message qui vous boostera certainement : « la clé du succès est de commencer avant d’être prêt ».
4. Wendy Lindquist, bodybuildeuse et mannequin
Wendy Lindquist s’est toujours illustrée dans le sport. Née en 1979, elle fait ses débuts en tant que gymnaste et danseuse. Mais à 22 ans, sentant l’appel d’une nouvelle passion, elle engage un coach personnel pour devenir bodybuildeuse professionnelle. Elle commence alors à s’entraîner dans le but d’afficher un corps musclé en béton. Et ses efforts paient.
© KrivsStudio.com via Alchetron
Prenant le culturisme très au sérieux, elle participe à de nombreuses compétitions régionales et nationales. En 2001, elle sort vainqueur des championnats de culturisme INBF. Jusqu’en 2018, elle enchaîne les concours de powerlifting, de fitness et de bodybuilding. Cependant, ses talents ne se résument pas au travail de ses muscles.
Un modèle photo fitness
L’un des atouts de Wendy est sa polyvalence. En marge des rencontres sportives, elle pose pour des magazines en tant que mannequin. Son physique naturel et sa silhouette plaisent d’ailleurs aux revues dédiées au fitness. Elle a fait des photos pour Ironman Magazine, Women’s Physique World, Natural Bodybuilding & Fitness…
Le fitness n’est pas le seul univers qu’elle a réussi à conquérir avec son physique. Elle sait également faire preuve de plus de douceur lorsqu’elle collabore avec des magazines plus glamour. Aujourd’hui, elle continue sa carrière de modèle féminin, toujours prête à repousser ses limites.
5. Kristina Mendoza, la bodybuildeuse aux belles jambes
Culturiste professionnelle de l’IFBB, Kristina Nicole Mendoza semble avoir été destinée à devenir athlète dès son plus jeune âge. Elle faisait partie de ces enfants qui débordaient d’énergie. Alors, pour canaliser toute cette force, ses parents l’ont initié à la gymnastique à tout juste 5 ans. Ce qui lui a permis de trouver sa voie.
Au lycée, elle intègre 2 activités très exigeantes : le cheerleading et la danse. Elle participe à des compétitions et fait preuve de talent. Seulement, une partie de son physique devient un frein à son épanouissement dans ces disciplines. Elle change alors d’orientation.
Des débuts très prometteurs dans le culturisme
Depuis toujours, Kristina avait des jambes plus musclées que la plupart des filles. Si ce n’était pas vraiment flatteur pour une pom-pom girl, elle a trouvé son bonheur dans la musculation. En allant à la salle de sport pour sculpter son corps, son physique ne passait pas inaperçu. Des gens lui ont même demandé si elle comptait concourir dans une compétition de musculation. Et c’est ce qu’elle a fait à partir de 2012.
Elle se classe dans le top 3 dès sa première compétition. Mais son passé la rattrape, les commentaires sur ses jambes beaucoup « trop grosses » refont surface. Une fois qu’elle a changé d’entraineur, elle a compris qu’elle devait tout simplement concourir parmi les bodybuildeuses professionnelles.
Une femme devenue une légende du bodybuilding
Son arrivée dans le vrai bodybuilding a modifié sa perception de son corps. Au lieu de s’atteler à réduire ses jambes qui semblaient poser problème, elle pouvait les développer librement. Ses quadriceps deviennent son premier atout et pas mal de monde lui demande comment elle fait pour avoir des jambes aussi sublimes.
La bodybuildeuse adopte un rituel bien rodé pour muscler ses jambes. Elle s’échauffe au vélo et à la machine à adducteurs. Elle fait également plusieurs séries de flexion et de lever de jambes. Autre astuce, elle travaille avec des charges légères avant d’intensifier ses séances avec des charges plus lourdes.
Consciente qu’elle a encore du chemin à faire pour devenir championne du monde, elle consacre désormais du temps au développement du haut de son corps. Son objectif est d’avoir une carrure plus harmonieuse et symétrique ainsi qu’un meilleur équilibre sur scène. Un bel exemple de persévérance, de patience et de discipline.
6. Natalia Soltero, l’étoile montante du bodybuilding
Elle fait la fierté de sa ville, Chihuahua au Mexique. Née en 1984, Natalia Soltero est une bodybuildeuse très prometteuse. Depuis qu’elle a commencé à participer à des compétitions en 2017, elle a démontré qu’elle est une vraie championne.
Dès son premier challenge, elle rafle la première place au New York PRO. La même année, elle entre dans le top 20 du championnat de bodybuilding Olympia. Pour vous donner une idée de sa performance, il s’agit de la plus importante rencontre professionnelle du monde en matière de culturisme. Et sa détermination ne fait qu’augmenter au fil des ans.
Une bodybuildeuse inspirante
Natalia fait tout pour donner le meilleur d’elle-même. Elle gravit les échelons et s’impose régulièrement dans le top 5 des compétitions. Sa force et sa détermination inspirent les gens. Elle aime d’ailleurs partager sur les réseaux sociaux ses entraînements et ses astuces concernant la nutrition.
L’un de ses secrets pour être au top de sa forme est de faire attention à son alimentation. D’ailleurs, elle est toujours entourée de nutritionnistes. Les compléments alimentaires font partie intégrante de sa routine. Elle en prend avant son cardio à jeun, pendant ses exercices et même au dîner. Et cette passionnée de lecture et de voyage n’a pas encore l’intention d’abandonner les compétitions.
7. Europa Bhowmik, la révélation du bodybuilding
Comme elle aime le dire, elle est une « espèce rare » au Bengale, sa région natale. Europa Bhowmik a fait parler d’elle en devenant la plus jeune culturiste en Inde. À tout juste 18 ans, elle s’est hissée parmi les meilleures bodybuildeuses. Elle a en effet remporté une médaille d’argent au championnat asiatique de bodybuilding en 2017.
Elle a commencé à concourir en tant que culturiste en 2015. Même si elle n’a pas gagné, elle a fait une rencontre décisive pour la suite de sa carrière, celle de son entraîneur. Une belle victoire quand on sait tout ce qu’elle a traversé avant de trouver sa voie.
Mal dans sa peau avant de devenir bodybuildeuse
Europa n’a pas toujours été la femme confiante et incroyable qu’elle est aujourd’hui. Plus jeune, elle n’avait même pas songé une seconde à devenir culturiste. S’il s’agit de mauvais souvenirs, les brimades à l’école l’ont également poussée à se surpasser. Elle était souvent persécutée à cause de son physique.
« J’étais grassouillette et pas sûre de moi » : voilà comment elle se décrivait à son adolescence. Face aux intimidations et à toute la pression émotionnelle qu’elle subissait, elle a suivi le conseil avisé de sa mère. Elle s’est inscrite dans une salle de sport. C’est là qu’elle a découvert qu’elle avait un problème bien plus sérieux à régler.
Un parcours du combattant pour se réconcilier avec la nourriture
Comme de nombreuses adolescentes, Europa avait un trouble alimentaire. Elle a fini par souffrir d’anorexie à force d’enchaîner les régimes dans le but de s’affiner. Elle a pu s’en sortir grâce à l’aide précieuse d’un coach qui l’a repérée. La jeune femme a appris à la fois à avoir une alimentation plus équilibrée et à développer son corps sur des machines de musculation.
La jeune femme a une autre passion : la danse. Elle adore d’ailleurs préparer des chorégraphies originales lors des championnats de fitness. Ce qui lui a valu de vives critiques de la part des conservateurs dans son pays. L’association du bodybuilding avec la danse traditionnelle ne fait pas l’unanimité, mais rend ses shows encore plus épatants.
8. Jessica Fithen, une femme qui incarne la force et la puissance
Elle est l’une de ces femmes qu’on pourrait qualifier de « Superwoman ». Jessica Fithen est tellement impressionnante avec sa force presque surhumaine. D’ailleurs, elle doit faire trembler de peur pas mal d’hommes. Elle a été élue la femme la plus forte du monde en 2019. Ses débuts n’étaient pourtant pas aussi spectaculaires.
Jessica déborde d’énergie si bien qu’elle a essayé plusieurs activités pour tenter de canaliser toute sa force. Il est difficile de croire que cette femme a commencé par un simple cours de Zumba. Comme ce n’était pas assez intense, elle s’est mise à l’haltérophilie. Mais ce n’était pas encore sa discipline de prédilection.
Elle établit un record mondial
Cette force de la nature a trouvé son rythme et le moyen de s’épanouir dans son entrainement de « strongwoman ». Début 2021, elle devient une inspiration pour la gent féminine en inscrivant un nouveau record mondial. Elle est la première femme à exécuter un développé couché de 100 kg.
Fière de représenter les États-Unis dans des sports de force, elle est devenue un exemple pour les femmes qui veulent s’affirmer. À un moment de sa vie où elle manquait de moyens pour participer à une compétition en Norvège, elle a reçu un soutien inattendu. Elle a ouvert une cagnotte pour financer son billet d’avion et s’est vue offrir plus de 4 000 dollars.
Une porte-parole des femmes
Jessica Fithen est très respectée dans son milieu. Une réputation qu’elle veut mettre à profit pour défendre les femmes souvent victimes de harcèlement dans les sports de force. Elle a alors lancé un blog intitulé « You look like a man ». Un nom très éloquent…
Elle donne aux femmes la force de s’exprimer. Très médiatisée, son initiative lui a aussi donné une autre idée : vendre des vêtements avec des messages ironiques. On peut par exemple lire « Je veux juste me tonifier ». Pour cette femme toujours en quête d’un défi de taille, la participation au Mammoth Strength Challenge coulait de source. Et on ne doute pas qu’elle ait la force d’un mammouth.
9. Donna Moore, une femme hyper forte à l’histoire fascinante
Quand on parle des femmes les plus fortes du monde, il est impossible de ne pas citer Donna Moore. Son nom ne vous dit peut-être rien, mais sachez qu’elle a établi des records. Au vu de son parcours, elle semble être faite pour tout écraser sur son passage (sans faire de blessés évidemment).
Elle est capable de soulever des charges lourdes inimaginables pour n’importe qui. Donna détient ainsi le record du monde des « Ardblair Stones », une compétition de force avec 9 pierres de levage en béton. Si on vous disait qu’elle a déjà soulevé une pierre de 170 kg, vous y croiriez ?
Une mère célibataire reconvertie
Avec un parcours atypique, Donna a su démontrer qu’un travail acharné finit toujours par payer. Mère célibataire de 2 enfants originaire du Yorkshire du Nord en Angleterre, elle souffrait autrefois d’un problème de surpoids. Malheureuse, elle a demandé à son médecin de l’aider à maigrir. Elle a alors pris la direction de la salle de sport.
Elle a effectivement perdu du poids, mais a aussitôt repris des kilos pour la bonne raison. Elle est en effet passée à l’haltérophilie et y a trouvé son bonheur. Depuis 2012, elle participe à des compétitions de sports de force. Donna a repris goût à la vie malgré des journées très chargées et partagées entre ses enfants, son entraînement et son travail auprès des personnes âgées.
10. Tatiana Kashirina, une femme forte comme on en voit peu
Son nom est célèbre dans le monde de l’haltérophilie olympique. Tatiana Kashirina est une athlète russe très talentueuse et incroyablement forte. Elle été 5 fois championne du monde et totalise une douzaine de médailles d’or.
Quand on jette un œil à son palmarès, on découvre une femme pleine de ressources qui enchaîne les records mondiaux. Son pire classement ? Une médaille de bronze, rien que ça. Elle a toujours été dans le top de l’haltérophilie féminin. Malheureusement, elle en voulait toujours plus, ce qui l’a conduit sur le mauvais chemin.
La chute d’une légende super forte
Beaucoup d’athlètes comptent sur eux-mêmes pour réussir. Une hygiène de vie irréprochable, des entraînements à n’en plus finir, une armée de coachs et de nutritionnistes… Tatiana, elle, a fini par prendre un raccourci.
Sans doute animée par la volonté d’aller toujours plus loin et plus vite, l’athlète a eu recours au dopage. Et cela à plusieurs reprises. Une énième suspension pour dopage en 2020 a mis fin à sa carrière.
Toutes ces femmes, athlètes ou bodybuildeuses, fascinent par leur histoire et leur transformation physique. Elles nous apprennent qu’en travaillant dur, nous pouvons effectivement obtenir ce que nous voulons. Elles montrent aussi que le bodybuilding n’est pas qu’une affaire d’hommes.