Si on se souvient surtout de son rôle dans Stuart Little, Jonathan Lipnicki a été en réalité révélé dans Jerry Maguire en 1996. Alors âgé de seulement 6 ans, il partage l’affiche avec des pointures du cinéma américain : Tom Cruise, Renée Zellweger et Cuba Gooding.
Au début des années 2000, Jonathan Lipnicki crève l’écran dans le film Stuart Little. Avec ses petites lunettes rondes, cet adorable petit blondinet interprète le petit George Little. En réalité, sa carrière a été propulsée par ce film à succès qui met en scène la fameuse petite souris du nom de Stuart.
Le succès de Stuart Little
Au total, les trois épisodes de cette Saga ont rapporté près de 300 millions de dollars, soit 250 millions d’euros. Ainsi, Jonathan Lipnicki a pu profiter d’une vie professionnelle assez sympathique et s’est contenté de faire quelques apparitions dans des séries télévisées. On l’a notamment retrouvé dans le film Le Petit Vampire.
Malheureusement pour lui, le petit George n’a pas vraiment retrouvé le chemin des plateaux de cinéma et du succès à Hollywood.
Jonathan Lipnicki a bien grandi
Aujourd’hui âgé de 26 ans, ce jeune acteur est suivi par quelques 140.000 abonnés à travers le monde. Particulièrement adepte du sport et notamment de la musculation et du judo, le petit George de Stuart Little a pris du muscle. Entre deux séances intensives de jiu-jitsu et du kickboxing, il n’hésite pas à entretenir le désir de ses fans avec des photos où il exhibe ses atouts. D’ailleurs, le petit a bien modifié son corps de jeune garçon car il est désormais tatoué un peu partout.
Jonathan Lipnicki se confie sur les moqueries qu’il a subi
Loin de la vie rêvée d’Hollywood, Jonathan Lipnicki a décrit avec beaucoup de franchise la réalité des enfants-stars dans le cinéma. Sur son compte Instagram, le jeune acteur a eu le courage de se confier sur les moqueries qu’il a subi étant plus jeune :
« Quand j’étais enfant/ado, des gens qui sont aujourd’hui mes amis sur Facebook se moquaient sans cesse de moi. On me disait que j’étais un has-been, que je ne trouverai plus jamais de travail. On me faisait me sentir comme un déchet chaque jour de collège, à tel point que je faisais des crises de panique chaque soir d’école, parce que je me demandais comment je pourrais passer la journée du lendemain. » — Jonathan Lipnicki