Tout a commencé lorsque la famille Galindo, qui réside à San Diego, en Californie, remarque d’étranges taches dans la cour de leur maison. Curieux de comprendre l’origine de ces taches, le père, Alfonso Galindo décide d’installer des caméras de surveillance pour découvrir ce qui se passait en leur absence !
Ils découvriront alors, dévastés, que leur petit chien Pupa a été victime de maltraitance à plusieurs reprises.
Le coupable : le facteur
En visionnant les images de la vidéosurveillance, la famille découvre que leur petit caniche, âgé de sept ans, se tortillait de douleur sur le sol de la cour juste après le passage du facteur. Quelques secondes auparavant, ce dernier avait en fait pulvérisé quelque chose provenant d’une boîte métallique sur le visage du caniche, après que le chien eut aboyé après lui frénétiquement !
Endolori, Pupa se met à frotter son visage et ses yeux sur le trottoir, tentant désespérément de se débarrasser du produit qui semble être du gaz à poivre !
« Je n’ai jamais soupçonné le facteur », explique le père à Fox5. « Je n’ai jamais soupçonné quelqu’un en qui vous avez confiance avec votre courrier, vos colis. C’était déchirant, vraiment déchirant. Cela me rend malade à l’estomac ! »
D’ailleurs, en y repensant, Alfonso Galindo se souvient avoir remarqué des taches rouge sang dans les yeux de son chien, mais il n’avait jamais fait le lien… Cependant, le papa affirme aussi que ses enfants, Alfonso Jr., âgé de trois ans, et Regina, un an, ont développé des problèmes respiratoires après une interaction régulière avec Pupa. En d’autres termes, les produits chimiques contenus dans le liquide pulvérisé sur Pupa et resté sur sa fourrure pourraient être à l’origine de ces problèmes. Et il compte bien demander l’avis d’un professionnel de la santé à ce sujet !
« Je deviens pâle en y réfléchissant. C’est la santé de mes enfants. Je crois que ce qu’il a fait à ma famille est dégoutant », a déclaré le père à WSD avant de porter plainte à l’USPS (United States Postal Service).
Depuis, le service postal américain s’est excusé dans une déclaration affirmant que « les mesures correctives nécessaires seront prises ». L’identité du facteur, quant à lui, n’a pas été révélée au public.