Mardi 4 août 2020, la capitale du Liban a été frappée par deux fortes explosions survenues dans la zone portuaire. Des explosions au souffle impressionnant qui ont causé la mort d’au moins 145 victimes et fait plus de 5 000 blessés.
Tandis que les autorités libanaises tentent de déterminer les circonstances exactes de ce drame, les Libanais, endeuillés, doivent également faire face à d’importants dégâts matériels.
Une habitante de Beyrouth qui filme l’intérieur de son appartement après la catastrophe ne peut se retenir de pleurer. La vidéo permet de saisir l’ampleur du souffle des deux explosions, qui a couché de nombreux bâtiments sur son passage.
Explosions à Beyrouth : la vive émotion de cette habitante, qui filme l’intérieur de son domicile dévasté
Ce mardi, deux fortes explosions ont eu lieu coup sur coup. Une double explosion qui a fait de nombreux morts, des milliers de blessés et de sans domicile fixe. Le souffle de l’explosion, qui a dévasté la zone portuaire de Beyrouth, a également causé de nombreux dégâts dans toute la capitale.
Tandis que Beyrouth compte ses morts, les habitants qui n’étaient pas présents chez eux au moment de la catastrophe pénètrent dans leur logement. Beaucoup s’aperçoivent avec effroi de l’état désastreux de leur habitation.
Le souffle puissant des deux explosions a brisé les vitres, couché les murs, éventré les façades et détruit le mobilier.
Des dégâts qui, certes, ne sont que matériels, mais qui s’ajoutent au traumatisme causé par la mort d’une centaine de Libanais.
Joelle Bassoul, habitante de Beyrouth, filme le moment où elle pénètre dans son logement. En ouvrant la porte de son appartement, la Libanaise ne s’attendait pas à retrouver son habitation délabrée à ce point. Fortement émue, elle ne peut retenir ses larmes.
Beyrouth anéantie : des habitants traumatisés par les explosions
Après cette double explosion d’une violence inouïe, les habitants de Beyrouth sont nombreux à partager sur les réseaux sociaux des photos de la ville, dévastée.
Des clichés capturés avant le drame et juste après, qui permettent de se rendre compte de l’étendue de la catastrophe.