On la connaît pour son franc-parler, son sourire solaire et sa capacité à créer du lien à l’écran. Karine Le Marchand est de ces figures télévisuelles que le public aime profondément, parce qu’elles inspirent confiance, parce qu’elles paraissent accessibles.
Mais derrière cette image maîtrisée, se cache parfois une réalité plus vulnérable.
Dimanche 29 juin, l’animatrice de L’amour est dans le pré a surpris ses abonnés Instagram en se livrant sans détour sur un sujet très personnel : son addiction au sucre.
une dépendance difficile à maîtriser
« Il faudrait qu’on engage un combat absolue contre le sucre ! » a-t-elle lancé dans une vidéo en story.
Avec son ton toujours direct et un brin amusé, Karine n’en reste pas moins sérieuse. « Du sucre, il y en a partout, c’est une catastrophe humanitaire », ajoute-t-elle, presque exaspérée.
Ce n’est pas la première fois qu’elle aborde son rapport à la nourriture, mais cette fois-ci, c’est avec une sincérité désarmante qu’elle évoque ce qu’elle appelle “son combat du quotidien”.
Elle confie avoir réussi à se libérer du gluten, mais pas du sucre. Un ennemi bien plus insidieux, qui s’invite jusque dans les plats les plus inattendus.
“On ne peut pas tout s’interdire” : une confession qui fait écho
À travers ses mots, Karine Le Marchand touche une corde sensible. Beaucoup de Français partagent cette lutte invisible contre les excès sucrés.
Et comme elle le dit si bien :
« À un moment donné, on ne peut pas non plus tout s’interdire ! Tu bosses, t’as pas de mec à la maison, tu fais du sport, tu lis, tu vas à des expos… c’est bien, mais le sucre, c’est un petit réconfort. »
Une phrase qui résonne fort, parce qu’elle est vraie. Parce qu’elle reflète cette réalité silencieuse : le sucre devient parfois le dernier refuge dans des vies bien remplies mais parfois solitaires.
“Je fais un lâchage par mois” : l’équilibre fragile
Dans cette même vidéo, l’animatrice révèle avoir craqué devant un buffet sucré. Un moment qu’elle assume, qu’elle attend même avec impatience :
« Une fois par mois, je fais un lâchage total. Je l’attends comme le messie. »
Plus d’alcool, plus de gluten, une vie saine et bien remplie… mais le sucre reste l’ultime tentation. Une manière pour elle de garder le cap sans basculer dans la frustration totale.
Un message qui déculpabilise
Cette prise de parole n’est pas anodine. Elle a le mérite de dédramatiser une forme d’addiction banalisée, mais bien réelle. Le sucre n’est pas qu’une gourmandise : c’est, pour certains, une véritable dépendance, aussi pernicieuse que difficile à contrôler.
En partageant sa vulnérabilité, Karine Le Marchand montre une nouvelle facette d’elle-même – plus intime, plus humaine. Et si son message trouve autant d’écho, c’est parce qu’il nous parle à tous.
En attendant “L’amour est dans le pré”… l’amour de soi d’abord
En parallèle, Karine prépare la 20e saison de L’amour est dans le pré, dont elle a déjà visionné les premiers épisodes. Mais dans ce flot de travail, elle n’oublie pas l’essentiel : prendre soin d’elle, avancer à son rythme, et continuer d’en parler. Sans tabou.