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Elle gagne 70.000 euros en vendant ses ongles d’orteils et révèle ce que ses clients en font


Abandonner la fac de médecine pour vendre ses ongles d’orteils ? C’est le choix radical – et lucratif – de Latiesha, 24 ans. Entre fétichisme et indépendance financière, elle raconte les coulisses d’un business aussi surprenant que rentable…

À 24 ans, Latiesha Jones aurait pu devenir médecin. C’était du moins le plan initial, jusqu’à ce que les difficultés financières viennent bouleverser ses projets. Obligée de quitter l’université, elle cherche une solution rapide pour gagner sa vie. C’est alors qu’elle lance un compte sur OnlyFans.

Rapidement, elle se fait remarquer. Mais ce n’est pas ses photos qui attire le plus l’attention… C’est une autre partie de son corps qui va tout changer.

Une révélation : « Il m’a offert 235 € pour mes bas »

C’est lors d’une nuit au club qu’un client lui fait une proposition déroutante : lui acheter une paire de bas pour 235 €. Un simple accessoire, mais qui révèle une demande bien plus étrange. Sur OnlyFans, ses abonnés lui font rapidement des propositions similaires — certains sont même prêts à lui acheter sa salive pour plus de 1 700 € !

Mais ce qui revient le plus souvent ? Tout ce qui touche à ses pieds. De ses chaussettes… à ses ongles.

Ongles d’orteils, sécrétions et autres curiosités : un marché de niche très lucratif

Latiesha décide alors d’explorer cette niche particulière. Elle met en vente ce que ses clients réclament : des morceaux d’elle-même, littéralement. En quelques mois, elle gagne plus de 70 000 €, rien qu’en vendant ses ongles d’orteils. Et la demande dépasse toutes ses attentes.

Mais le plus étonnant reste à venir…

“Ils les mangent comme du sel” : les confessions hallucinantes de ses clients

Interrogée dans l’émission britannique This Morning, Latiesha partage une anecdote qui a de quoi retourner l’estomac :

« Je vends mes ongles d’orteils, et la personne qui les a les broie, les utilise comme sel, les met sur sa nourriture et les mange. »

Un témoignage qui révèle l’intensité de certains fétichismes, mais aussi la complexité de ces communautés souvent méconnues.

Aider les femmes, autrement

Pour Latiesha, son activité n’est pas qu’un moyen de subsistance. Elle y voit aussi une mission.

« J’aide les femmes à découvrir quelque chose de sûr qu’elles n’auraient pas connu auparavant. »

Elle accompagne désormais d’autres personnes issues de la communauté, en les aidant à gagner leur vie autrement, en dehors des chemins classiques.

Un nouveau sens à sa vie : “Je sauve des vies, mais pas à l’hôpital”

Aujourd’hui, Latiesha ne rêve plus de blouse blanche ni de stéthoscope.

« À mon avis, c’est la même chose, mais différemment. J’ai toujours l’impression d’aider les gens, mais pas à l’hôpital. »

Elle est propriétaire de sa maison, n’a plus de dettes, et surtout, elle vit selon ses propres règles.

« Tout le monde vend quelque chose » : une réponse cinglante à ses détracteurs

Évidemment, son parcours dérange. Latiesha reçoit régulièrement des messages l’accusant de folie ou l’avertissant de dangers improbables, comme le clonage. Mais elle reste imperturbable.

« Vous vendez vos vêtements sur Vinted ou eBay, les gens obtiennent toujours une partie de vous. »

Pour elle, vendre ses ongles n’est qu’une autre forme de commerce. Une manière de tirer profit de son corps, sans se montrer complètement.

Une indépendance chèrement acquise, mais assumée

Latiesha Jones a trouvé une voie unique, certes dérangeante pour certains, mais totalement assumée. Son histoire interpelle, choque parfois, mais elle est aussi le reflet d’une réalité contemporaine : celle de femmes qui redéfinissent les règles pour reprendre le contrôle de leur vie.