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Elle dépense une fortune en chirurgie et choque avec sa nouvelle apparence


Toxii, la jeune Belge de 31 ans, fait la une avec ses transformations esthétiques radicales. Entre langue fendue et implants sous-cutanés, elle défie les normes et déconcerte les passants. Découvrez pourquoi ses choix suscitent fascination et crainte.

En ce début d’année, Toxii, jeune Belge de 31 ans, continue de faire parler d’elle avec ses transformations esthétiques audacieuses. Ces choix radicaux ont non seulement marqué la scène de la chirurgie esthétique, mais ont aussi laissé les passants perplexes et sceptiques.

Un engagement total pour la transformation

Depuis leurs débuts, les opérations de chirurgie esthétique ont souvent été utilisées pour corriger des imperfections ou lutter contre les effets du temps. Mais pour Claire, alias Toxii, la démarche va bien au-delà. Elle a choisi d’adopter une apparence qui n’a rien de conventionnel, intégrant à son quotidien une série de transformations corporelles impressionnantes.

Elle a, entre autres, opté pour le fendage de langue, des tatouages intégraux presque entièrement noirs, et des implants sous-cutanés. Lors d’une conversation avec l’artiste de rue Devon Rodriguez, Toxii a expliqué : « Parfois, les gens ont peur ». Elle n’a pas hésité à faire part des nombreuses critiques auxquelles elle a été confrontée en raison de son apparence.

Des modifications qui suscitent autant l’angoisse que l’admiration

Le 1er mai, dans un article du journal britannique Mirror, l’histoire de Toxii a pris une ampleur médiatique. Claire a partagé des détails poignants sur une opération particulièrement douloureuse qu’elle a subie : l’enlèvement d’une partie de son nez. « Il m’a fallu huit semaines pour guérir », a-t-elle confié. C’est une période pendant laquelle elle a ressenti une douleur intense, mais elle assure que les résultats en valaient chaque effort.

Bien que ces modifications puissent sembler étranges pour beaucoup, Toxii souligne qu’elle garde un souvenir tangible de chaque opération. « J’ai toutes les parties de mon corps dans de petits bocaux », a-t-elle partagé sur les réseaux sociaux.

Une influence communautaire conflictuelle

Les réactions de la communauté sont partagées. Alors que certains admirent Claire pour son courage et sa dévotion à l’art corporel, d’autres se montrent alarmés par les répercussions physiques et psychologiques de telles procédures. Un internaute a exprimé son inquiétude : « Je ne comprends pas comment on peut réaliser ces modifications en si peu de temps. Je pense qu’il est préférable de prendre ces décisions sur une période plus longue; cela donne au corps, à l’esprit et à l’âme le temps de s’adapter au changement et de faire le bon choix. »

Malgré ces avis partagés, Toxii reste résolue dans sa démarche. Certains s’interrogent : « Tu étais si belle avant. Qu’est-ce qui t’a poussé à te faire ça ? » Mais cela n’affaiblit en rien la détermination de Claire. Elle a affirmé qu’elle n’avait pas encore fini son processus de « transformation ».

Le visage de la chirurgie esthétique en pleine évolution

Ces actes de modification corporelle ne sont certes pas sans conséquences. Cependant, l’industrie continue de prospérer. Le Journal du Dimanche a fait état d’un chiffre d’affaires mondial avoisinant les 19,3 milliards de dollars, montrant ainsi que malgré les tabous toujours présents, la médecine esthétique attire de plus en plus d’adeptes en France.

Toxii, à la fois confrontée à l’incompréhension et encouragée par une communauté grandissante de partisans de l’art corporel, incarne une nouvelle vague de modification corporelle. Au-delà des critiques et des craintes qu’elle inspire, son parcours soulève des questions profondes sur la perception de la beauté et le droit à sa propre définition de l’esthétique.