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Cette institutrice de maternelle devient une célébrité sur OnlyFans, provoquant la colère des parents


Elena Maraga, institutrice à Trévise, choque par sa double vie sur OnlyFans. En quelques semaines, sa carrière a basculé, déclenchant passions et tensions parmi les parents d'élèves de cette école catholique italienne. Découvrez comment cette histoire a pris une tournure nationale.

Elena Maraga, une jeune institutrice de Trévise en Italie, a récemment vu sa vie prendre un tournant plus que surprenant. Enseignant habituellement des enfants en école maternelle, Elena est devenue une figure controversée après que sa double activité sur OnlyFans ait été découverte. Au cœur de ce tumulte, les parents d’élèves sont divisés, certains la soutenant, tandis que d’autres appellent à son licenciement.

Cette affaire a pris d’assaut les médias début septembre, la nouvelle s’étant répandue comme une traînée de poudre. Elena travaille dans une école maternelle catholique, une institution où les valeurs morales sont au centre des préoccupations. Pourtant, c’est précisément dans ce cadre que son activité de vente de photos a créé un véritable choc.

La Découverte Inattendue

C’est suite à une découverte fortuite par une maman d’élève qu’Elena Maraga a vu sa vie basculer. Cette mère a initialement atterri sur le compte Instagram d’Elena, où des indices de sa vie parallèle étaient présents. De là, le chemin vers son compte OnlyFans était tout tracé.

Dès que la nouvelle s’est répandue au sein de l’école, la réaction ne s’est pas fait attendre. L’administration a rapidement pris des mesures, et la direction a sommé Elena de supprimer ses comptes sur les réseaux sociaux. « L’administration a ordonné à la fonctionnaire de supprimer son compte », rapporte une source proche de l’école.

Réactions et Conséquences

La nouvelle de la double carrière de l’institutrice a semé la panique dans la communauté scolaire, mais la détermination d’Elena Maraga est restée intacte. Malgré la clause morale de son contrat, Elena a insisté pour ne pas quitter son poste d’enseignante, déclarant au journal Corriere del Veneto : « Je ne quitterai jamais l’école, je ne serai jamais la première à abandonner, par principe. »

Cependant, le dommage était fait, et son activité secondaire a été jugée comme « détruisant l’image de l’institution ». En conséquence, Elena a été mise en suspension administrative. Le ministère italien de l’Éducation a même pris l’affaire suffisamment au sérieux pour revoir le code de conduite, ajoutant une section sur la gestion des réseaux sociaux par les enseignants.

Une Opportunité Dans la Tempête

Malgré les retombées, Elena Maraga a su tirer profit de son entreprise sur OnlyFans, qui lui a rapporté plus de 1400 euros en seulement quatre semaines. « Je suis adulte et consciente de ce que je fais avec mon corps », a-t-elle souligné, ajoutant que « montrer son corps est encore critiqué en Italie, il y a trop de tabous ».

Elena a exprimé sa douleur face aux « préjugés et à la bigoterie » qui l’entourent, se confiant à ses abonnés sur Instagram et d’autres plateformes sociales. Elle a également souligné le soutien de nombreux parents d’élèves qui voient en elle une figure de courage face aux normes rigides.

Un Avenir Incertain

En attendant le verdict de l’enquête, Elena Maraga reste déterminée à poursuivre son parcours, que ce soit dans sa salle de classe ou en ligne. « Je suis prête à passer à autre chose et à continuer sur OnlyFans à plein temps », a-t-elle confié. Même si l’issue reste incertaine, une chose est sûre : l’enseignante de Trévise ne regrette rien et attend de savoir si elle pourra revenir dans son école.

Cette affaire ne laisse personne indifférent et continue de diviser. Avec des évolutions possibles à chaque instant, il reste à voir comment cette démarche influencera la perception des activités secondaires des enseignants en Italie et au-delà.

 L’Histoire d’Elena à Suivre

L’histoire d’Elena Maraga est une réflexion sur les défis auxquels sont confrontées les personnes qui naviguent entre des vies professionnelles et personnelles complexes. La manière dont cette affaire évoluera pourrait bien redéfinir les normes acceptables pour les enseignants. Pour l’instant, Elena attend son sort, persuadée que son parcours mérite tant le respect que l’attention des observateurs.