Tranche de vie

Iris, 83 ans, sans filtre sur son divorce avec Mohamed, 37 ans : « J’avais 45 000 euros sur mon compte… »


Leur liaison avait captivé le public : Iris et son partenaire bien plus jeune, Mohamed. Maintenant, la doyenne brise le silence et dévoile ce qui a vraiment conduit à la fin de leur relation amoureuse.

Le conte de fées n’a pas eu de fin heureuse. L’union sensationnelle d’Iris, la femme de 83 ans à la retraite, et Mohamed, son séduisant Égyptien de 37 ans, avait jadis captivé les foules. Aujourd’hui, leur histoire d’amour semble suivre la règle plutôt que l’exception.

En fin de compte, l’idylle n’a pas résisté à l’épreuve du temps. La grand-mère a brisé le silence pour partager les détails croustillants de son divorce récent.

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Une rencontre virtuelle

Il y a quelque temps, cette pensionnée britannique avait entamé des conversations avec un jeune Égyptien sans emploi, une rencontre digitale initiée sur Facebook.

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L’amour n’a pas d’âge

Malgré un écart d’âge frôlant la demi-décennie, rien n’a pu freiner ces deux amoureux. Après des mois de dialogues virtuels passionnés, ils ont franchi le pas pour transformer leur relation en une rencontre réelle.

Enfin la rencontre

L’octogénaire a fait ses adieux à Somerset pour se rendre dans la capitale égyptienne, Le Caire, où l’attendait son jeune soupirant.

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Le coup de foudre

Une fois sur place, l’attraction est immédiate et électrisante. La doyenne n’a pas tardé à lever le voile sur les moments intimes qui ont marqué leur première nuit d’amour.

Le mariage

Sans perdre de temps, quelques mois seulement après leur rencontre, le couple prend la décision audacieuse de s’unir. Le jeune Égyptien pose rapidement ses valises dans le sud-ouest de l’Angleterre pour commencer leur nouvelle vie à deux.

2 ans de vie commune

Cependant, l’état de grâce est de courte durée et le mariage commence à montrer des signes de faiblesse. En moins de deux ans, les nouveaux mariés prennent la décision difficile de mettre un terme à leur union.

Une histoire d’argent

Apparemment, des querelles financières seraient à la racine de cette séparation hâtive, selon ce qu’a révélé le Daily Mail dans une publication datant du lundi 4 septembre.

La passion pour le pécule

Néanmoins, dès les premiers jours de leur histoire, un représentant de l’ambassade britannique avait mis en garde l’octogénaire. Il l’avait exhortée à ne pas verser d’argent à Mohamed. Un conseil que Iris Jones a choisi d’ignorer, s’envolant pour Le Caire avec une somme considérable de 15 000 livres sterling en liquide, soit environ 17 500 euros. Elle a par la suite révélé comment cette coquette somme s’est évaporée en un clin d’œil.

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Des coûts de vie quotidienne

« J’avais 40 000 livres (soit environ 45 000 euros) sur mon compte bancaire, et je confiais ma carte bancaire à Mohamed chaque jour pour retirer 1 000 livres égyptiennes (équivalant à 30 euros) quotidiennement, » a détaillé la femme de 83 ans. Elle a ensuite précisé : « C’était pour couvrir nos frais de vie, les dîners au restaurant, une lune de miel à Charm El-Cheikh, et globalement pour mener la belle vie. »

Le compte en banque vidé

À son retour au Royaume-Uni, sa petite fortune s’était évaporée, ne laissant en solde que 9 000 livres. « Mohamed n’a jamais travaillé et n’a jamais eu d’argent propre. Je faisais croire aux gens que nous partagions les dépenses, mais en réalité, c’était mon argent qui couvrait tout, » a-t-elle révélé.

Quelqu’un d’autre

La situation financière d’Iris Jones est devenue si critique qu’elle s’est retrouvée à court d’argent. Elle s’est alors rendu compte que l’homme qu’elle avait épousé n’était pas celui qu’elle croyait être. « À travers le comportement de Mohamed, j’ai découvert qu’il avait plusieurs traits de narcissisme, » a-t-elle révélé. Un constat qui a précipité la fin de cette relation singulière.

Un partenaire loyal

Plutôt que de se morfondre, Iris a choisi de tourner la page en accueillant un nouvel ami à quatre pattes, infiniment plus fiable et affectueux : un chat. « Il est beaucoup plus calme et agréable, » a-t-elle partagé, « et il ne se plaint jamais ! »