Cet été, Sophie Davant, animatrice phare de France 2, s’est offert une parenthèse bien méritée dans le Sud de la France. En visite chez le chef étoilé Glenn Viel, qu’elle a chaleureusement salué sur Instagram, elle a partagé un cliché simple, solaire, sans artifice. Un moment de détente, capturé à l’ombre des oliviers, que la présentatrice d’Affaire conclue a voulu authentique et naturel.
« Le comble du luxe dans la sobriété », a-t-elle écrit, en référence au domaine Baumanière où elle séjournait. Pourtant, cette publication anodine a suscité bien plus qu’un simple flot de likes.
💬 Un commentaire d’une rare violence
Parmi les nombreux messages bienveillants se cachait une attaque frontale, brutale et sans filtre. Un internaute s’en est pris violemment à l’apparence physique de l’animatrice, critiquant son âge, sa poitrine, sa coiffure, et même sa peau :
« Quelle élégance de faire du topless à la soixantaine et la poitrine qui tombe ! On voit le bout des seins ! C’est classe, le soleil a fait son effet car la peau est bien fripée au bras ! La coiffure n’en parlons pas… »
Ce message, visiblement rédigé avec la volonté de blesser, a choqué par sa méchanceté gratuite. Et comme souvent dans ces cas-là, l’attaque ne s’est pas arrêtée là. Quand Sophie a réagi avec un calme olympien, la personne a renchéri, allant jusqu’à évoquer ses enfants :
« Et vous, vos enfants n’ont pas honte de vous voir vous exhiber dans cet état ? »
🎯 La réponse de Sophie Davant : un modèle de répartie
Plutôt que de se lancer dans un débat houleux, Sophie Davant a préféré une réplique sobre, élégante et piquante à souhait :
« Et vous, ça va, à part ça ? »
Une réponse minimaliste, mais terriblement efficace. Un uppercut verbal qui résume à lui seul toute la philosophie de la journaliste : rester digne face à la bassesse. Loin de se justifier, elle désarme la critique en révélant l’absurdité de la haine.
🤝 Le soutien massif de ses fans
Heureusement, Sophie Davant n’était pas seule. Très vite, les messages de soutien se sont multipliés. Des internautes touchés par son authenticité ont dénoncé l’agressivité du commentaire et salué son courage :
« Vous êtes magnifique, Sophie. Ne changez rien. »
« On voit une femme épanouie et naturelle. Merci d’être vous. »
Cette vague de solidarité a rappelé que les réseaux sociaux peuvent aussi être des lieux de bienveillance. Une communauté fidèle et bienveillante s’est mobilisée pour rappeler une évidence : vieillir n’est pas une faute, mais un privilège.
🌿 Vieillir librement, sans se cacher
Ce que cet épisode révèle, c’est à quel point les injonctions esthétiques restent encore violentes envers les femmes, surtout passées un certain âge. Mais Sophie Davant, 61 ans, incarne un autre modèle : celui d’une femme libre, assumée, bien dans sa peau.
En publiant cette photo, elle n’a pas cherché à choquer, encore moins à séduire. Elle a simplement voulu partager un moment vrai, loin des filtres et des artifices. Et sa posture inspire. Car face à la cruauté, elle oppose la sérénité. Face à la haine, elle répond avec grâce.
