Mode / Beauté

Adriana Karembeu avoue une pratique intime qu’elle n’assume plus, « Je l’ai fait, mais je n’ai pas aimé »


Adriana Karembeu, connue pour sa beauté intemporelle et son franc-parler, surprend une fois encore. Dans une confession inattendue, la compagne de Marc Lavoine évoque sans détour une pratique intime que beaucoup de célébrités préfèrent taire. Une révélation honnête, parfois dérangeante, qui relance le débat sur la beauté, l’âge et la pression du paraître.

Depuis quelque temps, Adriana Karembeu semble plus épanouie que jamais. L’ancienne mannequin, aujourd’hui animatrice, vit une idylle inattendue avec Marc Lavoine. Ensemble, ils forment un couple aussi élégant que surprenant. Mais derrière ce bonheur affiché, Adriana continue de se livrer avec sincérité, refusant les faux-semblants d’un monde où tout semble filtré et retouché.

Interrogée par Femme Actuelle, la star a décidé de lever le voile sur un sujet rarement abordé avec autant de franchise : la chirurgie esthétique. À 52 ans, elle avoue avoir cédé à une pratique devenue banale dans le showbiz, mais qu’elle regrette aujourd’hui.

“Je l’ai fait parce que tout le monde le fait” : une confession sans fard

Adriana Karembeu ne joue pas la carte de la perfection. Avec la même franchise qui a fait son succès, elle raconte son expérience avec le Botox :

“Je l’ai fait parce que tout le monde le fait. Mais je n’aime pas”, confie-t-elle, avant d’ajouter avec humour : “Mon visage gonflait comme un ballon de football, ce n’était pas moi.”

Un aveu désarmant, à une époque où beaucoup préfèrent nier ou dissimuler leurs interventions. “Ça fait tomber mes paupières, je trouve que cela me durcit le regard. Ce n’est pas joli”, poursuit-elle, assumant son choix d’en parler ouvertement.

Ce témoignage sincère, loin du glamour artificiel, résonne comme une mise en garde : même les plus belles femmes ne sont pas à l’abri des complexes ou des effets indésirables d’une chirurgie trop normalisée.

“Vieillir, c’est ne pas être mort” : une leçon d’acceptation

Dans la suite de son entretien, Adriana Karembeu aborde un sujet plus profond : le rapport au temps et à la féminité.

“Vieillir, ça veut dire qu’on n’est pas mort. On ne peut pas lutter contre le temps. J’essaie juste de me dire que je peux être jolie à mon âge”, explique-t-elle avec sagesse.

Elle admet cependant ne pas fermer la porte à de futures interventions, mais avec mesure :

“Si un jour mes sillons deviennent trop marqués, peut-être que je ferai un lifting. Mais je ne veux pas courir après mes 30 ans. Ce serait une bataille perdue d’avance.”

Cette réflexion touche par sa simplicité et sa lucidité. Dans un monde où l’on glorifie la jeunesse éternelle, Adriana Karembeu prône un équilibre : rester coquette sans renier le temps qui passe.

Entre botox, lifting et amour : une femme en pleine évolution

Si son parcours sentimental a souvent fait la une des magazines, Adriana Karembeu semble désormais apaisée. Sa relation avec Marc Lavoine, marquée par la complicité et la tendresse, lui permet d’aborder la vie avec plus de légèreté. Pourtant, une ombre persiste : son ex-mari, Aram Ohanian, a récemment déclaré qu’elle portait encore son nom sur le papier, car leur divorce n’était pas finalisé.

Une situation “dérangeante”, selon lui, mais qu’Adriana semble relativiser. Elle choisit de se concentrer sur l’essentiel : aimer, vieillir, et surtout rester fidèle à elle-même.

Une voix rare dans un milieu d’apparences

Dans un univers où le moindre défaut est traqué, Adriana Karembeu assume ses rides, ses erreurs et ses doutes. Elle incarne une nouvelle forme de beauté : celle de la vérité. Son témoignage fait écho à une génération de femmes qui refusent de se cacher derrière des filtres ou des aiguilles.

En osant dire “je l’ai fait, mais je n’ai pas aimé”, Adriana Karembeu signe peut-être l’une des confessions les plus honnêtes du showbiz français. Et prouve, une fois encore, qu’elle est bien plus qu’un visage parfait.