Tibo InShape, célèbre vidéaste et influenceur largement suivi sur YouTube, traverse actuellement l’œil du cyclone. Pourquoi ? A cause d’un tweet de 2012, où il déclare s’amuser à « jeter des côtes de porc sur les musulmans« . Ce message, déterré par l’émission célèbre « Quotidien« , a été exposé au grand jour.
Cette affaire, actuellement au cœur de la toile française, a provoqué un déferlement de réactions, provenant du public comme des autres vidéastes et influenceurs.
La polémique : Un tweet de 2012 refait surface
Le chroniqueur de « Quotidien« , Yann Marguet, a mis l’accent sur Tibo InShape en remémorant des tweets passés de ce dernier. Ainsi, un message de 2012 où l’influenceur proclame « Je m’amuse à jeter des côtes de porc sur les musulmans » lorsqu’il est énervé refait surface et instaure un malaise.
Un grand nombre de vidéastes et d’influenceurs, comme Squeezie, durcissent leur position contre le Rassemblement National et encouragent les individus à aller voter. Le youtubeur Tibo InShape, pour sa part, prône l’apaisement, invitant chacun à voter selon sa conscience.
Une réaction mitigée du public
Face à cette affaire, le public a réagi de diverses manières. Certains expriment leur indignation face à ces propos et accusent Tibo InShape d’être homophobe et raciste.
D’autres, estiment que ces messages sont l’oeuvre d’amis de l’influenceur qui auraient posté ces statuts en son nom lors de soirées en école de commerce. Enfin, une minorité pense que ces messages auraient été fabriqués de toutes pièces.
Des explications pour se justifier
Devant la polémique grandissante, Tibo InShape a lui-même pris la parole à plusieurs reprises. Il a d’abord affirmé que les messages controversés étaient des « fake« , conçus par un individu malintentionné.
Plus récemment, dans une interview avec la youtubeuse EnjoyPhoenix, il a indiqué que ces messages avaient été postés par des amis, à une époque où il n’était pas aussi connu.
En conclusion, la polémique autour de Tibo InShape ouvre un nouveau chapitre dans les discussions sur les prises de position politiques des influenceurs. Elle rappelle également que les messages postés sur internet peuvent résonner des années plus tard.
Sources : Libération – Public