C’est à Paris, en France, lors des Jeux Olympiques de 2024 que le jeune athlète Léon Marchand a su marquer les esprits avec pas moins de 4 médailles d’or, et une en bronze, faisant de lui une des figures sportives les plus marquantes. Les performance incontestables de ce jeune talent ont fait de lui l’une des nouvelles figures du sport français, surtout chez ceux qui l’ont connu durant ses années de formation au collège Berthelot de Toulouse tels que sa professeure d’éducation physique, Laure Glayat-Rousselle.
Révélation par Laure Glayat-Rousselle sur Léon Marchand
Mme Glayat-Rousselle, qui a guidé Marchand lors de sa troisième année, a récemment partagé des confidences sur la personnalité de cet élève lors d’une entrevue exclusive avec France Bleu Occitanie.
« Il était déjà comme il est maintenant. Un jeune garçon plutôt discret, très rigoureux, très respectueux, mais déjà aussi dans sa bulle. C’était un élève modèle, exemplaire, brillant qui excellait en EPS et dans toutes les matières. Un nageur qui ne faisait pas de vague, » a-t-elle révélé.
C’est avec beaucoup de fierté que son ancienne professeure suit aujourd’hui la carrière de Marchand et a pu constater avec admiration que les nombreux titres qu’il a remportés sont bien plus le fruit d’un travail acharné et d’une détermination sans faille plutôt que d’un simple hasard.
La surprenante reconversion de Léon Marchand
Après avoir marqué les esprits dans les bassins, Léon Marchand semble déjà être prêt pour une réorientation. À 22 ans, ce quintuple champion du monde en grand bassin, formé par le mythique entraîneur Bob Bowman à l’université d’Arizona, envisage une autre passion : l’aviation.
Peu de temps est libéré pour cette autre passion dans le quotidien surchargé de Marchand, entre ses entraînements et ses études en informatique. Cependant, il semble déterminé à obtenir son brevet de pilote qu’il avait entamé en France avant de partir s’entrainer aux Etats-Unis.
« Je me suis dit que j’allais le finir aux US, mais c’est assez compliqué. Il y a pas mal de papiers administratifs parce que, lorsqu’on est étranger, on ne peut pas piloter un avion comme ça, » a-t-il déclaré à ce sujet.
Léon Marchand continue de rêver de voler à travers les cieux de l’Arizona vers des lieux tels que le Grand Canyon. Pour le moment, cependant, le temps lui fait défaut, mais comme toute chose à laquelle il s’engage, on ne peut qu’anticiper avec impatience le jour où il pourra réaliser ce rêve.