Depuis l’apparition des premiers vaccins contre le Covid-19, le débat sur leur efficacité et leur sûreté n’a cessé de faire rage. À l’Université de Yale, le Dr Akiko Iwasaki et son équipe de chercheurs se sont plongés dans ce tumulte scientifique pour mieux comprendre les conséquences à long terme de ces injections salvatrices pour certains, sources de tracas pour d’autres.
Les révélations d’Akiko Iwasaki : une quête de transparence
Dès le début de l’année 2025, le Dr Akiko Iwasaki, un nom éminent de l’immunobiologie à Yale, a pris la tête d’une enquête. En dépit des directives gouvernementales restrictives, Iwasaki, motivée par un impérieux besoin de vérité, a conduit une enquête pour identifier ce qu’elle appelle le « syndrome post-vaccinal » (SPV). Ce syndrome rassemble divers symptômes allant de brouillards cérébraux à des fatigues extrêmes.
Elle confie au Daily Mail : « Pour les patients qui souffrent du syndrome post-vaccinal, nous voulons qu’ils sachent que nous les voyons, que nous les écoutons et que nous continuerons à faire plus de recherches dans ce domaine afin que cette condition puisse être reconnue et que de meilleurs soins médicaux puissent être fournis ».
Une étude aux résultats prometteurs
En février 2025, les recherches d’Akiko Iwasaki ont pris un tournant significatif. Son équipe a analysé du sang de 42 participants. Cette étude a permis de déterminer que ceux souffrant du SPV avaient des schémas immunologiques distincts, notamment des niveaux inférieurs de certains globules blancs. Une découverte marquante a été l’association du syndrome de Stevens-Johnson avec de faibles taux d’anticorps contre la protéine de pointe du SARS-CoV-2.
Le professeur Sterling d’immunobiologie à Yale rapporte avec optimisme : « Cela nous donne l’espoir qu’il pourrait y avoir quelque chose que nous pourrions utiliser pour le diagnostic et le traitement du syndrome de Stevens-Johnson à l’avenir ».
Impact personnel et collectif
Au-delà des murs de l’université, les travaux d’Akiko Iwasaki trouvent un écho avec des témoignages poignants, tel celui de Mme Ponce de Leon, une mère de famille qui, après la vaccination, a souffert de symptômes graves nécessitant un remplacement total de son plasma sanguin. Elle témoigne amèrement : « Je pensais faire ce qu’il fallait, et puis le gouvernement me laisse tomber. C’est de la manipulation ».
Les chercheurs de Yale évoquent également la possibilité pour les vaccins de réactiver le virus d’Epstein-Barr, aggravant ainsi les troubles de santé chez certaines personnes.
Poursuivre le chemin de la connaissance
Face à ces découvertes troublantes, le besoin de continuer les recherches est primordial. Les scientifiques expriment la nécessité de poursuivre ces études pour clarifier les effets des vaccins et améliorer les traitements de ceux qui en souffrent.
L’engagement continu d’Akiko Iwasaki et de son équipe aidera peut-être la communauté scientifique et le public à mieux comprendre pourquoi le vaccin Covid-19 peut parfois causer des problèmes chroniques. Le chemin est encore long, mais chaque avancée nous rapproche un peu plus de la sécurité pour tous.
En découvrant les effets potentiellement néfastes des vaccins, la recherche menée par Iwasaki et ses collègues devrait sensibiliser davantage de gens à la complexité de la science derrière la vaccination.
Source : CNEWS