Actualités

Brigitte Macron accusée de cacher son passé : sa fille prise dans la tourmente


Visée par une rumeur transphobe persistante, Brigitte Macron sort du silence… mais c’est sa fille Tiphaine qui surprend. Pourquoi ce silence autour des preuves ? Et que cherche réellement Candace Owens ? Une affaire médiatique qui mêle politique, vie privée et stratégies de défense...

Depuis des années, Brigitte Macron est la cible de théories conspirationnistes aussi douteuses qu’infondées. Mais ces derniers mois, une rumeur transphobe a resurgi avec une violence inouïe, alimentée par certains commentateurs médiatiques étrangers. Le climat politique tendu post-dissolution de l’Assemblée n’a fait qu’amplifier l’effet de cette vague de désinformation.

Et cette fois, le scandale prend une dimension plus personnelle : la fille de Brigitte Macron, Tiphaine Auzière, se retrouve, bien malgré elle, impliquée dans l’affaire.

Candace Owens relance la machine

L’étincelle ? Une intervention de Candace Owens, célèbre journaliste politique américaine connue pour ses prises de position polémiques. Invitée sur un plateau télé, elle a insinué que le passé de Brigitte Macron cachait quelque chose, s’appuyant sur les travaux d’un journaliste français.

« Comment se fait-il que le simple fait de poser des questions sur les trente premières années de la vie de Brigitte Macron déclenche une réponse d’État ? » a-t-elle lancé, provoquant un tollé immédiat.

Owens affirme que l’affaire pourrait être « réglée en cinq minutes », si seulement des preuves comme des photos de grossesse ou des clichés de famille étaient rendus publics. Pour elle, l’absence de telles preuves nourrit le doute… et justifie les questions.

Une attaque jugée blessante… et injustifiée

Mais pour Tiphaine Auzière, la fille cadette de Brigitte Macron, la limite a été franchie. Juriste de profession, elle a tenu à réagir publiquement, dénonçant les propos de Candace Owens comme étant « blessants et absurdes ».

« On ne peut pas justifier une campagne de harcèlement en prétendant simplement poser des questions », a-t-elle fait savoir.

Et pourtant, aucun document ou témoignage familial n’est venu contredire frontalement les accusations. Un silence qui alimente, malgré les démentis, la machine à rumeurs.

L’Élysée face à la polémique

Le service juridique de l’Élysée n’est pas resté inactif. En réponse à ces accusations jugées calomnieuses, des poursuites pour cyberharcèlement ont été engagées. Ce qui n’a pas empêché Owens de contre-attaquer, se présentant comme une simple « mère de famille qui fait un podcast depuis son sous-sol ».

« On ne poursuit pas une femme comme moi si ce que je dis est absurde », a-t-elle lancé, ajoutant encore un peu plus d’huile sur le feu.

Une affaire loin d’être terminée

Alors que la France traverse une période d’instabilité politique, cette affaire personnelle et médiatique devient un symbole d’un climat délétère, où les figures publiques sont attaquées sur leur intimité au nom de la liberté d’expression. Brigitte Macron, souvent discrète, semble cette fois prise dans une spirale dont elle ne contrôle plus les contours.

Et même si Tiphaine Auzière tente de défendre sa mère, son absence de preuves tangibles est pointée du doigt par les détracteurs.

L’affaire, loin de s’essouffler, soulève une question cruciale : jusqu’où peut-on aller au nom de la vérité présumée, quand l’honneur et l’identité d’une femme sont mis en jeu ?